Un lecteur (ou une lectrice) au tutoiement facile — et nécessairement méprisant — m'adresse depuis quelques jours des commentaires qui se veulent venimeux. Je voudrais lui assurer que si cela lui fait du bien, cela ne me fait pas mal. Simplement, comme ses messages ne seront pas publiés et qu'il demeure à usage interne, pourquoi ne pas se déclarer plutôt que de rester anonyme même si j'ai quelques soupçons sur l'auteur(e) des commentaires en question.
Jerôme Pasco annonçait récemment sur le blog Voie militante (voir ma blogoliste) qu'il cessait de publier ses textes, ses analyses, ses états d'âme. Il en avait assez des attaques et des agressions anonymes dont il ne comprenait pas les desseins. En ce qui me concerne, je les comprends trop bien. Mais il en faut beaucoup plus pour altérer ma sérénité. Cher lecteur ou chère lectrice, je (te) vous informe gentiment : adressez moi des messages personnels si cela vous chante mais si le ton continue d'être celui que vous affectionnez, ne vous étonnez pas s'ils finissent à la corbeille.