Magazine Politique
Lors de son audition devant les membres du FMI, Dominique Strauss-Kahn, qui s'avère être le favori, a déclaré pour convaincre son auditoire vouloir : "donner au FMI toute sa place, ce qui requiert au moins un mandat de cinq ans pour lequel je m'engage."
Applaudissements.
Ce qui, de fait, si on le nommait, le priverait d'être candidat à la présidentielle de 2012. Mais en fin politique qu'il est, DSK sait que les promesses n'engagent que ceux qui les écoutent !