L’artiste-designer française Matali Grasset a ainsi repensé le mobilier urbain d’un lycée avec des idées poétiques et pratique à la fois : un arbre à poufs permet aux lycéens de piocher des sièges portables confortables et de les poser où bon leur semble, tandis qu’une aire de repos produit de la musique douce grâce à de multiples mobiles supendus. Un lycée moderne, délirant et poétique comme on aurait aimer en fréquenter un...
A Prague, dans un autre style, l’artisteEpos 257
a mis en scène un tuyeau rouge qui rentre et sort de différents
enfroits du sol praguois : il a pour cela bousculé quelques pavés des
jolies rues de la ville. Pour réaliser cette oeuvre urbaine l’artiste a
scanné les endroits qu’ils visaient puis les a reproduit sur ordinateur
en intégrant le tuyau...
Quelques mois ont été nécessaires à la réalisation de l’installation. L’artiste a voulu mettre en scène ce vers de plastique en hommage à la créature mythologique, Orghoi Khorkhoi, issue de la mythologie mongol. Un vers qui était censé se promener dans les sables mongols et tuer les vaches..Un vers qui représente un lien entre ancien et moderne, sol et surface, réalité et fiction.(via)
Et puis récemment, vous n’avez pas pu passer à côté des gros lapins
fluos qui ont littéralement colonisé le boulevard Haussmann, ainsi que
les vitrines du Printemps ? Ils sont l’œuvre d’un collectif d’artistes,
le Cracking Art Group, invités par Marc Jacobs. Ils dénoncent les
effets du réchauffement climatique grâce à des sculptures (recyclées
après chaque installation) qui tentent d’établir un lien entre la
nature et l’artifice... + Leur site
Et vous, vous aimez ? Vous trouvez ça inutile, drôle ou êtes vous insensible à ce style d’installation artistique ?
Tags :