Second Life , un alternative pour des meetings durable ? La question est d'actualité. Grippes porcines, mexicaines… Le risque de pandémies est telle que des cadres partant à l’étranger intègrent désormais le risque de rester sur place en quarantaine au retour. Après les récents incidents d’avions et autant pour limiter l’empreinte écologique de leur entreprise, d’autres directions regardent à nouveau le métavers.
En effet, Second Life pourrait offrir et offre déjà aux entreprises mondialement implantées un mode de communication opérationnel nouveau, mais aussi des espaces répondants aux impératifs de formation et d’échanges des cadres.
(Découvez The University Of Marinland Dental School)
Parmi les Virtual World Believers, il y bien sûr IBM qui a seulement évoquer l’efficacité mais aussi le Roi de cette mesure. D’autres entreprises ont intégré cette « nouvelle mobilité » dans des sims privatisés et réservés à l’expérimentation.. On peut ainsi imaginer un cadre d’un grand groupe faisant une présentation de ses résultats depuis un hôtel de Paris à ses patrons disséminés dans 3 ou 4 états américains.
On l’a déjà écrit ici, le monde anglo-saxon a clairement tourné le cap du Buzz pour faire entrer SL dans une logique opérationnel. Que ce soit cette technologie ou une autre, ces entreprises et institution s’entraîne d’avance à des révolutions technologiques et culturelles qui feront demain notre quotidien.
On citera l’Université de Princeton, des grands noms comme Stanford ou l’Open University. A tel point que la liste des universités du sl est déjà très longue. Mais clairement, l’éducation est la formation sont désormais les axes de développement de bon nombre d’espaces. La lécture de la vidéo suivante portant sur la formation de futurs chirirgiens (MUVERS - université du Winsconsin) devrait vous fasciner.
Et vous l'aurez compris, il ne s'agit là que de quelques cas ... Vous pouvez en découvrir d'autres. CNN réalisait récemment une enquête fascinante : "Can Second Life help teach doctors to treat patients"? Dépuis, les exemples se sont multipliés.
Stéphane BOURHIS (www.red-act.)