Enjeux internationaux de France culture. Au Japon, le parti au pouvoir depuis 55 ans est usé. Les postes de responsabilité se transmettent de père en fils. Fils pas très brillants et fatigués, qui abandonnent le combat à la première escarmouche. Le parti d’opposition ne semble guère plus rassurant : le prochain premier ministre est petit-fils de premier ministre, et le parti lui-même est l’agglomération de petits partis et d’anciens membres du parti au pouvoir.
Comment en est-on arrivé là ? Nouvelle application de ma théorie du parasitisme, qui aurait disloqué l’organisation traditionnelle japonaise, faite de solidarité ?
Pas évident. Si c’est le cas, le Japon a le parasite peu combatif : ceux qui sont au pouvoir ne cherchent pas franchement à défendre leur magot.
Dislocation de la société japonaise, privée de motivation ?
À étudier
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