Je souhaite faire partager une réflexion....
Pendant qu'on nous bassine avec les risques d'extension de la grippe A (ou H1N1) et qu'on nous entraine dans la paranoïa, on (les médias manipulés et les politiques corrompus) nous parle moins d'un autre virus (parti des U.S.A.) et qui provoque une véritable pandémie chez nous 'les honnêtes et modestes Citoyens', je veux parler de la grippe WS (Wall Street)...
C'est un virus décelé chez un certain type d'oiseaux (les vautours de la finance) et qui se transmet à l'homme lors d'échanges économiques.
Cette forme d'épidémie était apparue en 1929 et avait frappé des millions de personnes, victimes d'une forme d'affaiblissement des défenses immunitaires du corps social, le chômage. A l'époque, il avait fallu une intervention massive de la puissance publique (nous) pour enrayer la contamination, mais nous n'avons pas réussit à éradiquer les oiseaux porteurs du virus. Plusieurs alertes successives nous sont revenues, ce fut le cas en 1987 avec une épidémie baptisée "KRACH" et en 2001 avec un contamination surnommée "ENRON" en relation avec le nom de l'entreprise américaine où les vautours avaient installé leur nid.
Quelques docteurs (FMI, OMC) ont tenté des remèdes et antivirus mais ont surtout paré au plus pressé sans parvenir à enrayer ce mal endémique.Ces organismes ont laissé les oiseaux porteurs de la bactérie maléfique s'installer un peut partout (en Europe et en Asie), d'où une rechute brutale en 2008 avec une épidémie qui s'étend et se propage d'économie à économie.
Les plus exposés (nous), salariés, petites entreprises, sous-traitants, personnes âgées ou jeunes en paieront les frais.
En revanche, pour une raison scientifiquement inexplicable et inexpliquée, les porteurs (possédants) ont la capacité de fabriquer des antivirus (bonus, retraites chapeau, primes de bienvenue, etc...) leur permettant d'échapper à la maladie, ce qui crée des réactions de colère chez les plus vulnérables.
Pourtant le super-docteur ( le G20) à promis la mise au point d'un vaccin (...ce n'est qu'une promesse) financé par les porteurs du virus (...on n'est pas arrivé).
En attendant, je préconise aux personnes menacées d'arborer des masques géants portés en groupe et qu'on appelle également "des banderoles", afin d'éloigner ces oiseaux maléfiques.
C'est une certitude, les paroles s'envolent...
Les écrits e-mail restent...
C'est toujours le peuple qui aura le dernier mot.
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