Ce film m’a fait penser à Contes cruels de la jeunesse. Ce n’est pas une coïncidence : ils ont le même réalisateur.
Dans les deux cas c’est la plongée dans l’abime de personnages maudits. Ça me fait penser au film noir américain de la même époque. Il paraît qu’il faut aussi voir l’influence de la Nouvelle vague.
Est-on trompé sur la marchandise : film japonais ou international ? Ou, image fidèle du Japon de l’époque : traditions violemment bousculées par les cultures étrangères ?