En 1855, L'inspecte
ur écrivait à propos d'Esquermes : Une salle d'asile devrait y être établie. La commune, assez riche, se fait pauvre outre mesure. Je ne crois pas qu'elle prendra l'initiative d'une salle d'asile .
Les Dames Bernardines prirent elles , cette initiative. A "l'Asile ", on occupait les enfants à dessiner sur l'ardoise, à lire sur syllabaire, à éplucher de la laine, de la soie. On apprenait aux petites filles à coudre et à tricoter. On dansait parfois au son d'un orgue de barbarie. On racontait des histoires, on enseignait " l'histoire sainte", des jeux et des comptines...on chantait
En 1852, L'école gratuite pour filles pauvres des Bernardines a 165 élèves pour deux classes.
L'école des Frères Maristes compte 210 élèves pour trois classes en 1860. "Elle se remarquait par sa tenue et sa direction intelligente" .(rapport d'inspection du 30-3-1860 ) ADN
Les effectifs de ce temps là, laissent rêveurs !