Des clics et ...des claques, que l'on se prend parfois en visitant les autres mozart de l'azerty qui en valent deux trois et bien plus-
parce-que des mots sentant l'ordinaire à priori, ils pourraient bien en faire de drôles d'histoires qui vous émotionnent, un peu partout où y'a de la place pour être émotionné-
touché où ça chatouille,
approché de l'intérieur,
déboussolé de la côte et bouche bée parce qu'on sait plus quoi dire, rien à rajouter c'est parfait merci-heu! vous nous amènerez l'addition s'il vous plait!
Ah bon c'est déjà fait- sans qu'on s'en rendre compte! alors!...
Trop fort! les phrases et toutes ces virgules qui apaisent, qui respirent le texte et diable que ça sent bon!
même si c'est renfermé, même si c'est poussiéreux même si c'est tremblotant...
Vous avez de ces mots savez-vous! qui m'inspirent des musiques, pas toujours symphoniques parce qu'il n'y a pas forcément de la place pour recevoir toute la panoplie d'un philar-monique et françois aussi avec sa vieille guimbarde il peut également en abattre des murs de la honte ou de l'oubli.
Les moyens ne sont jamais disproportionnés , ils font boutique au coin de la rue des vents porteurs, à la vase comme je te pousse, à la jetée comme tu tangues.
remarque:
Le verbe est à apprivoiser dans le pré et c'est pas une mince affaire de le monter à cru-
mais je vois là des courageux qui s'éventent avec les livres, qui cata- strophes à l'occasion, qui torturent les adjectifs pour qu'ils avouent tout et poinçonnent les subjonctifs quand ils ont cinq minutes à la pause!
les mots sont à la ramasse à marée basse- je les pêche au trou et attention prudence et gérard aussi... ça mord à tous les coups!