Magazine Cinéma

Come early morning (Un beau matin, 2007)

Par Eric Culnaert

Come early morning sur La fin du film Et ça finit en queue de cheval

Bible, country et pick-up, on a bien affaire à un film américain! A part ça, pendant 1h30 on se demande si la réalisatrice Joey Lauren Adams avait un scénario au départ tellement l’intrigue est inexistante. Lucille (Ashley Judd) passe son temps dans l’unique bar de la ville soit à jouer au billard ou à boire avant de tomber dans le lit d’un gars de passage.

C’est qu’elle doit faire face à de nombreux problèmes familiaux dont je t’épargnerai la liste, sauf à préciser que son père faisait la même chose qu’elle. Mais voilà qu’elle tombe amoureuse de Kyle (Jeffrey Donovan), rénovateur de vieilles bagnoles. Ayant peur de cette nouvelle relation, elle le repousse et se tourne vers Dieu pour avoir des réponses.

Celui-ci l’ayant mise en attente car il avait un double appel lui répond qu’il faut “qu’elle arrête de frapper aux portes et qu’elle prenne l’initiative d’y entrer”. Du coup, elle essaye de renouer le dialogue avec son père, de changer la relation entre sa grand-mère et son grand-père et elle se décide à retourner voir son “amour” pour lui avouer ses sentiments. Pas de bol, ce dernier a déjà trouvé une remplaçante.

Repartant à bord de son pick-up, elle retourne dans l’entreprise qu’elle va désormais diriger (car son boss a trouvé un job plus intéressant), glisse une pièce dans le juxebox… et v’là-t-y pas qu’on a droit à la fameuse musique country, plus un plan final sur un magnifique coucher de soleil qui valait vraiment la peine d’attendre (je déconne). Dommage, il manquait juste les donuts et le Mc Donald’s et on était bon!

Si tu veux savoir à quoi ressemble la “quête d’amour d’une femme de 30 ans”, va donc faire un tour sur Allocine.


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Eric Culnaert 106 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte