Et oui, Facebook a acheté FriendFeed.
La nouvelle s’est répendue comme si c’était le nouveau président des états-unis qui était élu. Ils en ont tous parlé : TechCrunch, Cnet, Mashable (plus d’une fois) et beaucoup d’autres. Tout le monde l’a tweeté et rewteeté, oui moi aussi je l’avoue !
Facebook Acquires c’est retrouvé dans les trending topics très vite et le monde n’a parlé que de ça durant une bonne heure au moins. Ce que je trouve drole, C’est que déjà 3 heures après la nouvelle parue, les gens étaient déjà tannés d’en entendre parler on dirait. Même moi je vous avouerai que j’était tanné de voir des nouvelles sur le sujet en si peu de temps. C’est un peu comme la fois que tout le monde parlait que de Michael Jackson. On s’attend déjà à devoir se taper une semaine de nouvelles ne parlant que de cela. Expliquant les comment, les pourquoi, les quand, les conséquences positives, négatives et etc.
C’est surtout grace à Twitter qu’on peut s’apercevoir que le monde ne parle que de cela. On a alors un surplus d’informations.
Dans le temps, on le voyait dans nos flux RSS, tout le monde en parlait sur leur blogue. Maintenant, on le voit dans flux RSS et en plus sur Twitter. On a l’info en double, triple et quadruple pendant quelques temps afin de nous assurer que tout le monde le sait bien.
Cela me fait penser à un article écrit par Benoit Tremblay sur Twitter et la montée du sensationnaliste. Je rajouterais que Twitter aide aussi à la monté du sur-sensationnaliste. N’importe quelle nouvelle peut facilement prendre une ampleur démesurée si les bonnes personnes décident d’en parler. Je veux dire, tout le monde ou presque se balance de FriendFeed. Ce n’est qu’une acquisition de plus dans le monde des affaires. D’accord on parle quand même de deux réseaux sociaux qui sont importants… mais bon.. FriendFeed..
J’ai l’impression de chialer pour chialer, mais je sais pas. On dirait qu’on s’habitue à qu’une nouvelle aie 15 minutes de gloire et qu’après on en parle plus, car on se dit que tout le monde le sait autour d’internet.
C’est pourquoi je vous pose la question : Comment réagissez-vous face à des surplus d’informations pareil ?
Thomas.