Magazine Côté Femmes

Pac-girl

Publié le 18 août 2009 par Juval @valerieCG

Flashou nous gratifie d’un article qui est EVIDEMMENT à prendre au second degré. [bon pour avoir passé des heures à planter des pensées dans Animal crossing, je me reconnais un peu. Quand même].

Il est une vérité que nulle ne souhaite voir exposée au grand jour mais qui, je suis désolé de le dire, est le signe majeur d’une violente hypocrisie. Oui chers amis ! La société a depuis trop longtemps tenté de vous abuser en vous faisant croire que les femmes sont nos égales en matière de jeu vidéo !

Quelles preuves me permettent d’avancer de tel propos ? Mais tout simplement cette réalité indéniable : la femme n’est pas faite pour le jeu vidéo !

Dieu bon et miséricordieux, a doté l’homme de talent indiscutable à la pratique vidéoludique, et il est évident que l’Eternel lui-même est un gamer. Ne sommes nous pas les Sims de Dieu ? Ceci étant dit, regardons dans le détail ce qui rend l’homme si supérieur dans le domaine.

Dès l’adolescence, l’homme se voit doté d’une capacité exceptionnelle pour ne pas dire divine, à l’usage du bâton de joie et des boutons. C’est un soldat capable de gagner plusieurs fois la seconde guerre mondiale tout en buvant un coca zéro, tandis que la femme, cette vendue, préfère soigner sans distinction les chevaux Arabes ou Andalou avec « Léa Passion ». Ne pas savoir apprécier la joie simple d’abattre un ennemi dans le dos avec un fusil sniper est déjà une preuve que la femme n’a rien à faire dans le monde vidéoludique.

Lorsque la femme joue a Street Fighter, King of Fighter, Soul Calibur ou bien Tekken, on constate toujours le même phénomène : elle trépigne sur la manette en appuyant sur tout les boutons en espérant que sa marche et fait sans arrêt le même coup spéciale… bon d’accord : ça marche plutôt bien, mais ou est l’honneur vidéoludique la dedans ? La joie simple de placer un bon ShoRyuKen dans le menton de son adversaire ? La femme ignore ses choses là parce que la femme n’est pas capable de comprendre des valeurs martiales comme les pains dans la tronche et le double mawashigeri dans les dents. C’est cette infériorité intellectuelle qui pousse les éditeurs de jeu vidéo a crée des personnages de filles énervantes dans les jeux de combats : en effet, il est prouvé scientifiquement que les pimbêches vidéoludiques attirent immanquablement les femmes « parce qu’elles sont super kawai » (dixit la jeune Marie Cindy, 16 ans).

Les jeux qui intéressent les femmes sont à la hauteur de leur médiocrité : des jeux de réflexion, des « casual » games… bref des insultes répéter a cette formidable capacité qu’a un homme a passer 80 heures devant Final Fantasy X2 afin de débloquer tous les costumes des héroïnes.

Et oui car l’homme lui seul est suffisamment doué d’imagination pour apprécier des vers de terre se faisant la guerre armés de lance roquette. L’homme encore est capable de porter en art de vivre des jeux ou un petit vaisseau riquiqui extermine seul une armée doté de monstres géants faisant 30 fois la taille de son engin et qui tirent des boulettes roses partout à l’écran.

Cependant, et bien qu’elle soit totalement incompétente dans le domaine, la femme en tant que concept a pu apporter a ce glorieux loisir la plupart de ses raisons d’être : en effet, si la princesse Peach n’était pas la reine des gourdes, Mario n’aurait aucune raison d’aller la sauver à chaque épisode. Si cette feignasse de Zelda n’était pas plongée dans un profond sommeil après l’absorption d’un rail de coke, Link ne pourrait pas parcourir la campagne déguisé en Robin des bois façon Errol Flint et devrait retourner bosser avec son père à la quincaillerie familiale.

Finalement, on comprend vite que la vraie femme vidéoludique est celle qui se trouve DANS le jeu et non pas vous, harpies hirsutes et hargneuses !

Laissez nous en paix Ô immonde mégère : le monde du jeu vidéo n’a pas besoin de vous ! Car l’homme dans la plénitude de la sagesse que lui à accorder Dieu sait que vous n’êtes que tentation et futilité ! Qui voudrait de vous alors qu’il peut le temps d’une soirée faire de la plongée avec Lara, du catch avec Blue Marie, ou tout simplement une bonne vieille guerre avec Tanya ? Qui voudrait de vous alors que vous ne savez même pas ce que c’est qu’un headshot ou un frag et que le seul but de votre personnage dans WOW c’est d’avoir une jolie robe d’elfette : évidement personne !

J’entends déjà vos remarques type « o lui hey ! Même que c’est même pas vrai ! » Pauvres gourgandines ! Ne voyez vous pas que l’ergonomie d’une manette requière un doigté qui est de tout temps la marque majeure de l’homme.

Vous soutenez que si vous ne pratiquez pas le jeu vidéo, c’est parce que les scénarios sont nuls, tous basés sur la violence et le bourrinage : Non, ce ne sont pas les thèmes des jeux qui sont mauvais : c’est votre caractère ! Et oui femmes, jalouses que vous êtes des héroïnes à la plastique haute résolution, vous fustigez les hommes en les traitants d’immondes bêtes libidineuses alors qu’ils ne sont que des esthètes appréciant le travail du chara-designer. Quant à la violence, sur ce point je vous donne raison : laissez ça aux professionnels.

Pour finir mesdames, je tenais à dire que même si nous vous seront toujours infiniment supérieur dans ce loisir, nous vous aimons quand même, et vous savez pourquoi ? Parce que lorsque vous nous regardez d’un œil bienveillant tandis que nous trépignons de joie après avoir battu le boss du 5eme niveau, la tendresse toute maternelle de votre regard nous donne le sentiment d’être de vrai héros.

Pour ça, je ne vous remercierai jamais assez.


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