On connaît la position du préposé suisse à la protection des données : Google Street View dans sa version helvète dépasserait les bornes.
Plutôt que de posséder un service centralisé coûteux qui est censé protéger les données et ne s’en occupe qu’une fois tous les tremblements de terre, on ferait mieux de faire cultiver quelques hectares de blé OGM ou pas à ce troupeau d’amateurs peu éclairés qui n’a rien trouvé de mieux que de réagir stupidement et de façon indéfendable juridiquement dans la semaine même qui a vu Street View arriver en Suisse.
Pour toutes les autres affaires, quand ils veulent bien s’en « occuper », il faut attendre des mois ou des années. On a les priorités qu’on peut à Berne, pour se faire mousser la pompe.
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Google Street View : préposé ridicule
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