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Mon premier lexomil

Publié le 27 août 2009 par Olgablog
Mon premier lexomilJ'ai écrit hier que je relaterais ma première expérience avec un lexomil mais mon dealer de copain m'a rectifié, c'est de l'atarax. Ca reste un anxiolitique tout de même. (En fait, je vais vous raconter l'experience avec le deuxième lexomil  atarax parce que le premier j'étais trop gastro malade pour en sentir les effets)

Je l'ai pris parce que je pensais que ma diarrhée était dû à une forte angoisse d'aller au boulot à cause d'une collègue prise de tête. Aujourd'hui, ça s'est bien passé sans anxiolitique et je n'ai pas eu d'angoisse ni de chiasse. Ma diarrhée était donc dû à une gastro et non à une crise d'angoisse.

Bref, tout ça pour dire quoi? Une heure après la prise de l'anxiolitique, j'ai eu des fourmis dans les membres.
Une sensation bizarre à l'arrière de la tête
L'impression de ne pas avoir les yeux en phase des trous
Mais le plus étrange était qu'à la moindre sonnerie ou à la vue d'un insecte ou au moindre appel de mon nom, j'avais l'impression de recevoir une décharge électrique un peu moins forte toutefois que de toucher un  fils électrique dans un champ à vache. Bref à la moindre micro- peur, mon système me donnait une décharge pour empêcher d'angoisser, étrange mais du coup j'avais du mal à tenir une conversation normale et j'avais peur qu'on se rende compte de mon" gogolisme".

Bref, j'ai décidé de ne pas continuer l'aventure même si je me serais accoutumée avec le temps et serais devenue moins électrique.. Je suis trop réactive aux médocs. D'ailleurs ma dernière prise d'antibiotique m'avait fait très peur également. j'avais des hallucinations. C'est pourquoi je ne prendrais jamais de cocaïne ni d'héro par précaution.

Je comprends que certaines personnes prennent des médicaments pour se soulager un peu parce que l'esprit a beau être dans notre tête, on a du mal à le cerner. Comment peut- on loger en nous des choses qui nous font si mal. On veut être maître de notre corps et de notre conscience mais le subconscient semble être complètement indépendant de nous, pas du tout solidaire des angoisses qu'ils générent et des répercussions sur nos vies

J'ai déjà dit a des personnes que si elles étaient mal dans leur peau, c'était bien qu'elles le voulaient, bercée par le mantra "quand on veut, on peut" or c'est idiot, accuse- t-on une personne dans le plâtre d'avoir le bras cassé parce qu'elle l'a voulu?


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