[Critique] Manga Ikigami – Préavis de mort

De nos jours, une loi stimule que pour le maintient de la prospérité du pays, tous les enfants qui entrent à l’école primaire doivent être vaccinés. Ce vaccin inocule une substance capable d’entrainer la mort à une date et heure précise programmée en amont. Un jeune sur mille entre 18 et 24 ans est concerné. Fujimoto, fonctionnaire est chargé de délivré ce préavis de décés aux familles, appelé Ikigami…

Tout d’abord, il faut savoir que dans ce manga nous suivrons plusieurs personnes, il y a tout d’abord Fujimoto, celui qui est chargé de remettre les fameuses fiches où sont inscrit les détails de la  la mort du concerné et tout particulièrement l’heure de son décès et de l’autre côté nous avons bien sur les victimes, qui pour la plupart, tentent de profiter de leurs dernières heures malgré tout leur désespoir mais l’on rencontre certaines personnes qui eux, profitent de cela pour commettre des actes inattendus, sans doute pour se “libérer” de leur passé.

Dans chaque tome nous retrouvons deux histoires, ainsi que deux victimes différentes, mais il y a une chose que l’ont retrouve dans chacune de ces histoires, c’est de l’émotion. En effet chaque annonce de l’ikigami vient bouleverser une famille, un couple, de ce fait ont a le droit à des scènes vraiment très touchantes.

Je ne sais pas trop comment va évoluer ce manga, je ne pense pas que ça va continuer ainsi car à force cela risquerait de devenir répétitif, alors j’imagine que l’annonceur (Fugimoto) va prendre une place très importante dans l’histoire et qu’il tentera sans doute de faire cesser cette pratique plutôt barbare, après je ne vois pas encore par quel moyen il pourrait y parvenir, surtout que se rebeller contre ce système garantirai à coup sur son arrêt de mort.

C’est mon dernier coup de cœur, j’accroche totalement à l’histoire, c’est un réel plaisir que de lire ce manga, je ne peux que vous le conseiller.

J’aimerai maintenant vous poser une question, celle que toutes les victimes dans le manga ont eu à se poser:

Que feriez-vous si vous n’aviez plus qu’une journée à vivre?