The Body Shop soutient actuellement la campagne internationale Stop sex trafficking of children and young people - Stop aux trafic des mineurs à des fins sexuelles, en partenariat avec l’ECPAT. Des brochures et des cartes sont distribuées dans les boutiques et samedi, rue de Rivoli, une personne d’ECPAT France était présente avec l’équipe de vente pour sensibiliser le public à ce phénomène. Il y a deux aspects dans cette campagne, l’information et la récolte de fonds. D’une part, The Body Shop consacre une partie de sa communication à cette question ; d’autre part, un produit a été développé spécialement, la Crème Mains Douceur & Crème d’Or. Comme pour le Baume pour les Lèvres Tentation de la campagne Yes Yes Yes, une partie des recettes de cette crème est reversée à l’ECPAT pour financer des programmes de prévention et aider les victimes.
Ce type de partenariat a débuté en 1993 sous l’impulsion de la fondatrice de The Body Shop. Dame Anita Roddick a toujours été à la fois entrepreneuse et militante en matière de commerce équitable et de défense des droits de l’homme. Clairement, l’enseigne née à Brighton en 1976 s’est transformée et internationalisée et bien des consommateurs se sont détournés de la marque lors de son rachat par L’Oréal. Pourtant, cette campagne avec l’ECPAT me semble incarner l’essence de The Body Shop, lier business, éthique et engagement. Parce que peu importe où l’on est et les moyens que l’on a, l’important est de faire quelque chose.