Pour combler son déficit de 9 milliards de dollars, la Régie des rentes du Québec (RRQ) envisage de changer les critères d'admission à son régime et de diminuer le montant des rentes de plusieurs Québécois.Les prestataires de la rente du conjoint survivant, dont 8 sur 10 sont des femmes, ne pourraient bénéficier de leur rente que pendant une période maximale de 10 ans ou encore jusqu'à l'âge de 65 ans. Cette rente est actuellement viagère, c'est-à-dire qu'elle est accordée jusqu'au décès de la personne qui en bénéficie.
Dans un mémoire présenté à la commission parlementaire sur la RRQ, mercredi, la présidente du Conseil du statut de la femme, Christiane Pelchat, s'est vivement opposée à ces changements souhaités par la RRQ.
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COMMENTAIRE :
« Vous n'êtes pas tanés (écoeurés) de crever bande de cave »
C. Péloquin
Nous les citoyens du Québec payons deux impôts fédéral et provincial et de ces impôts une partie est consacrée à une mission de guerre en Afghanistan que la grande majorité des Canadiens et Québécois rejette. Il serait temps que nous regardions comment l'État et nos gouvernements (provincial et fédéral) qui la dirigent se servent de nos impôts pour financer des projets qui non-rien a voir avec l'humanitaire et qui ne servent qu'a engraissé les riches compagnies qui empochent des centaines de millions et qui profitent des services de l’État sans contribuer a leur juste part. On préfère taper sur la tête des pauvres plutôt que sur ces riches qui s'en mettent plein les poches, eux qui profitent de leur fondation pour ne pas payer d'impôt, comme ça, ça leur permet d'aller jouer au golf et de voyager dans le sud ou dans l'espace...La richesse ne se construit pas dans le vide. C'est en spoliant ceux qui travaillent et en ne les rémunérant pas à leur juste valeur qu'ils contribuent a créé ces inégalités. Il est grandement temps que les esclaves salariés se lèvent pour mettre fin à ce régime d'exploitation.
Jeu de briques
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