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Patriiiiiiiiiiick ! {He's had the time of his life}

Publié le 15 septembre 2009 par Niouinina

Patriiiiiiiiiiick ! {He's had the time of his life} Il y en a des artistes ou célébrités qui nous quittent, et particulièrement en ce moment je trouve. Il serait impossible de parler de toutes ces pertes de manière exhaustive, mais il y en a quelques-unes sur lesquelles on s'arrête, pour une raison ou pour une autre.
J'aimerais ici revenir sur le décès de Patrick Swayze, décédé hier, soit le 14 septembre 2009, à l'âge de 57 ans, des suites d'un cancer du pancréas fulgurant, qui avait été annoncé publiquement en mars 2008. Je ne vous montrerai pas de photos de l'acteur/chanteur/danseur/... dans ses derniers mois de vie, d'abord parce que vous avez Google - et Internet de manière générale - pour ça, et ensuite parce que vous ne le reconnaîtriez pas, tellement la métamorphose était spectaculaire, de par la maladie...
Patrick Swayze, c'était Johnny Castle dans "Dirty Dancing", apprenant à la jeune et un peu naïve Bébé (Jennifer Grey, aperçue depuis dans quelques épisodes de "Friends" dans le rôle de la meilleure amie de Rachel/Jennifer Aniston. Vous ne l'avez pas reconnue ? C'est normal, elle s'est fait refaire le nez entre-temps. Patriiiiiiiiiiick ! {He's had the time of his life}) la danse, la vie, l'amour, et un peu la débauche, bon ok, très édulcorée pour l'époque. Mais Patrick Swayze, c'était aussi Sam Wheat dans Ghost, le mari d'une Demi Moore aux cheveux courts, à l'époque, ou encore un danseur aux côtés de Travolta dans le mythique "Staying Alive", Bodhi dans "Point Break" (re-popularisé depuis par notre Brice de Nice national), en tête d'affiche de "Road House" (film d'action, moins connu), de "La Cité de la Joie" (que je vous recommande plus que chaudement...), de "Lettres à un Tueur"...
En psychologie, l'effet de récence est un terme qui désigne le fait de se souvenir plutôt des éléments du début dans une liste. Si j'ai réussi mon coup, vous êtes donc à présent focalisés sur "Dirty Dancing".
J'en profite pour rappeler qu'il est l'interprète de la chanson She's like the wind, qui figure sur la BO du film. C'est peut-être lui qui avait lancé la mode des chanteurs/acteurs/artistes multifonctions, qui sait ?



Ahlàlà, Patrick Swayze dans ce film... Et pourtant, ce n'est pas mon type d'homme a priori, mais alors là...
Il faut dire que "Dirty Dancing", c'est le film qui a bien failli me faire valoir le savon du siècle par mes parents ; je l'ai vu pour la première fois quand j'avais dans les 7-8 ans, et comme j'étais censée me coucher tôt, telle une enfant sage que j'étais, je l'ai regardé à la dérobée dans le couloir... J'avais vu les choses en grand, je m'étais bien installée avec une petite chaise et tout (ben ouais attends !), sauf que j'en suis tombée avec moults fracas, et laissez-moi vous dire que j'ai dû limite battre Usain Bolt vu le sprint que j'ai tapé jusqu'à mon lit juste après. Mais limite, hein.
Bon allez, trêve d'anecdotes persos, voici deux des scènes qui doivent bien résumer l'effet qu'il a pu faire à une majorité de femmes/filles ayant vu le film, respectivement sur la magnifique chanson de Solomon Burke, Cry to me (avec la petite intro en VO) et sur le mythique final (I've had) The time of my life, de Bill Medley et Jennyfer Warnes . RIP...







Source : contacts persos + perso


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