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J’ai trompe lolo dans le boudoir de sophie !

Publié le 22 septembre 2009 par Carmel

 3416682Oui, c’est vrai, je le confesse, j’ai trompé Lolo. Avec Sophie. Je sais, je suis faible, c’est moche, hein. La première fois avant l’été. Sur un coup de tête. Et pis, zut quoi. Lolo et moi, on venait d’entamer notre cinquième année. Plan-plan au possible, aucune imagination, toujours la même chose, au même endroit, avec les mêmes mots, le même sourire poli, les mêmes gestes trop sages. Marre. Plus envie.
Même Robert il le trouvait moyen. D’ailleurs, c’est lui qui m’a un jour m’a dit : et si tu changeais ? Aussitôt dit, aussitôt fait ! J’ai viré Lolo et j’ai testé Sophie.
Et là, le coup de foudre. Immédiat. Comme dirait Carla. On a d’abord fait ça en catimini un samedi après midi. Et ce fut l’amour fou au bout d’une heure seulement. Enfin, surtout pour moi! A tel point que la semaine suivante, je suis retournée la voir et que je lui ai présenté mes enfants. Les trois. Vous allez dire que j’exagère, que je n’y vais pas avec le dos de la cuillère.
Et pourquoi faudrait-il que je fasse dans la demi-mesure d’un coup? Pas de moyens termes, pas de compromis, pas de demi-mesure, pas de demi-conquêtes. Quoi! (….) Visons haut, pensons vrai, marchons droit. C’est trop Victor Hugo, pour parler de ma nouvelle coiffeuse ? Oui oh hein ça va. Je peux tout mélanger si je veux.
Et bien sur que non, c’est pas tiré par les cheveux ! C’est juste que quand je suis arrivée l’autre soir à son boudoir, à Sophie : j’étais pas belle, fatiguée, crevée, déteinte, pas fraîche. J’y allais pas pour rigoler. Comme Victor Hugo à Guernesey. C’était ça le rapport! Donc. Y’ avait du boulot. Enfin surtout pour Sophie. Par pour Victor.

Oui là, on est revenu à Bordeaux, mesdames. Parce que son salon était carrément plein à craquer. Le rush. Comme tout les jeudis, parait. Mais pour moi, point de rush, juste un moment de calme, de plaisir, de bien-être. Elle a commencé par me cacher derrière un immense rideau, genre Y’a que la vérité qui compte…mais en plus chic. On a discuté, de femme à femme. Je me suis livrée. J’étais au bout du rouleau. Y’avait urgence. J’en pouvais plus de mes cheveux, de ma coupe inchangée depuis 5 ans. J’ai des vrais problèmes, moi. Aux grands maux, les grands moyens. Elle a commencé par couper 10 cm de cheveux, à sec (!). A appelé Thomas pour la couleur. S’y sont mis à deux, ont travaillé mèche par mèche, un qui massait et tirait à droite, l’autre qui faisait pareil à gauche. Une fois, recolorée, le rideau s’est ré-ouvert. Ahhhhh ! Shampoing. Massage. Et le meilleur pour la fin : la coupe. La vraie. Je voulais tout changer, Sophie a tout coupé. De mi-long, je suis passée à un carré court.

Pas de demi-mesure, j’avais bien dit. Et là, c’était par-fait. Enfin presque. Au beau milieu du brushing, cette question : « Votre mari, il vous préfère avec les cheveux courts ou longs ? » Ouch. Robert ! Joker. Je passe. Longs, il les préfère longs feu mes cheveux…
Robert, tu m’aimes ?
En tout cas, moi j’aime. Ouais.
Et puis, hormis le cadre épuré mais très cosy du salon, j’ai beaucoup aimé l’accueil de Sophie et de son équipe. J’ai aimé les services aussi qu’elle propose. Une esthéticienne qui vient sur rendez-vous. Une manucure, qui elle vient de Biarritz tous les 15 jours. Une relaxologue, Anne. Shiatsu, soins du corps. Au fond du salon, dans une alcôve décorée par elle, aménagée par elle.
Ca donne envie tout ça, non ? A découvrir Rue Sicard, place du Marché des Chartrons.
Il y a pire comme corvée ;-)

Crédit photo : www.gettyimages.fr

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