"Renault n'a pas hésité à se débarrasser de l'homme qui lui a offert quatre titres mondiaux, dans l'unique espoir d'être seulement légèrement sanctionné." peut-on lire dans les colonnes de la "Gazzetta dello Sport".
"Le jugement de la FIA pue ; c'était une revanche. Afin de sauver Renault, il Flavio Briatore a pris la responsabilité de toute l'affaire. Nelson Piquet s'en est sorti malgré son sale boulot, et en plus, il tient sa revanche." écrit le "Corriere dello Sport".
"La Republica" déclare : "Briatore a payé pour tout, Renault en réchappe."
Le "Tuttosport" est plus sévère : "Dans l'affaire Piquet, seul Briatore paye. Il est victime d'une conspiration. Ce chapitre sombre de l'histoire de la F1 a un mauvais goût de revanche contre Briatore." Le "Corriere della Sera" dit la même chose, mais de façon plus imagée, rappelant le lieu du Conseil Mondial du Sport Automobile qui décidé des punitions dans cette affaire : "Mosley (président de la FIA) a eu sa revanche Place de la Concorde, là où était la guillotine durant la Révolution française."
