J’ai déjà eu l’occasion de parler deux fois de ce fait divers qui s’est passé à 50 mètres de chez moi et qui avait vu un lieutenant de la police militaire tuer un policier de la police civile (travaillant dans les services d’enquête technique) le prenant soit disant pour un trafiquant . Hier avait lieu la reconstitution. Drôle de reconstitution puisque le meurtrier n’était pas présent. Lieutenant de la police militaire, son avocat déclarait qu’il ne voulait “pas de publicité”. Mais pourquoi lui demande t-on son avis ?
La reconstitution aura au moins permis de vérifier, photo à l’appui que la thèse du lieutenant assassin ne tenait pas debout et que de drôles de manipulation ont eu lieu sur le corps. En effet, une photo apportée au dossier montre que le policier assassiné, couché sur le ventre, avait son pistolet à moins de 30 centimètres de la main. Cela semblerait confirmer les dires du meurtrier qui a déclaré avoir tiré parce que l’autre avait sorti son arme. Seulement, il y a un hic, un gros même, le policier assassiné était droitier et le pistolet est bien a 30 centimètres de sa main, mais de la main gauche…De plus, on ne sait pourquoi, le pantalon du policier assassiné était “descendu” sur les fesses ce qui d’après l’avocat de la victime montre que le corps à été manipulé par les policiers militaires.
Un de mes amis, ami du policier assassiné était présent sur place lors du meurtre et à témoigné que le policier assassiné avait montré son insigne de la main droite et avait soulevé sa chemise de la gauche pour montrer qu’il était armé …version en complète opposition avc celle de la police militaire disant qu’il avait sorti son arme…
Rappelons que le jeune technicien de la police civile laisse une femme enceinte et un enfant de 5 ans…
voir aussi : assassinat sur la largo Santo Antonio (1) et assassinat sur la largo Santo Antonio (2)
Jeu de briques
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Pacman
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