Chére Mariniére,
La premiére fois que je vous ai aperçue, c'était en août. Je venais de reçevoir le numéro de septembre de BIBA. Vous étiez photographiée par Marie Flores.
Vous aviez su raviver ma passion dévorante de ce vêtement mythique et indispensable que vous êtes. Le prix annonçé, bien qu'érroné, m'importait peu. Je soupçonnais déjà l'engouement que vous susciteriez et que vous seriez l'objet de toutes les convoîtises . Vous fîtes trés vite votre entrée dans la blogosphére : dés le 10 août chez Minnor. Blogosphére qui s'embrasa et s'empressa de vous annonçer " sold out". Que nenni ! La canaille que vous êtes, avait simplement deserté Paris pour Lyon. Le 13 août Barock & Roll mît un terme à cette rumeur. Je savais que je pourrai vous trouver soit dans les trois boutiques que comptent ma ville, soit dans les corners des " Au bonheur des Dames ". Et si le hasard voulait que vous ne soyez plus disponible en ville, je misais quelques espoirs sur l'un de mes e-spots, dont je surveillais, réguliérement, votre arrivée. Puis, je ne sais pas si la flamme s'était éteinte mais vous aviez disparu de mes pensées. Disparue jusqu'à une nouvelle parution presse dans ELLE du 18 septembre : photo: tony Kim Regain de passion. Je commençais à élaborer un plan de financement. Bientôt mienne ? Peut-être? Tou dépendait de votre hypothétique mais probable arrivée sur cet e-spot. Et, aujourd'hui, en fin d'aprés-midi, en feuilletant pour la nième fois ELLE, la curiosité me conduit à me lançer à votre recherche sur le net. Traquée, vous étiez et reperée. Ô surprise ! crédits photos : Place des Tendances Joie éphémère. Stock épuisé dans toutes les tailles. Pardonnez-moi, chére Mariniére, si je choisis de vous oublier car, vraisemblablement, vous avez plus d'affection pour les serial shoppeuses et e-shoppeuses au portefeuille bien garni. Adieu, chére Mariniére.