Magazine Humeur

Bon anniversaire à une Dame d'honneur et de Dévouement

Publié le 29 septembre 2009 par Maaxtal

Une femme qui a dédiée sa vie aux animaux,plutot qu'aux hommes et des ces premières apparitions,

lors de l'une de ces premieres interviews ,Madame Bardot a dit:"j ai fait du cinéma,pour pouvoir acheter une maison et y vivre avec mes animaux"

Et bien Madame ,chapeau bas ,car vous l'avez tellement bien fait ,tout au long de votre vie,que votre maison, est aussi grande que la planete.Et si cette planete avait un coeur se serait le votre.

Et encore bon anniversaire et longue vie à votre fondation!

L'actrice a fêté ses 75 ans, lundi (28Sep09), et même si une nouvelle exposition s'ouvrait à Paris, elle ne s'y est pas rendue à cause de sa santé. Elle souffre d'arthrite et ne se déplace plus qu'avec des béquilles.

Au lieu de cela, elle est restée en compagnie de ses chats et chiens pour célébrer ses 75 ans.

Un organisateur de l'exposition Brigitte Bardot confie "Brigitte n'a pas envie de faire trop de bruit, et préfère rester avec ses animaux. Elle se déplace maintenant avec des béquilles, donc il est difficile pour elle de se rendre à Paris. En plus elle n'a pas non plus très envie d'être photographiée avec ses béquilles."

Brigitte Bardot « ne regrette rien », ni le temps de la popularité qui lui a apporté « le meilleur comme le pire », ni d’avoir mis fin à sa carrière en 1973 pour se lancer dans sa lutte pour la défense des animaux, pas plus que son franc-parler qui a quelquefois suscité la polémique. C’est par fax que celle qui s’est retirée dans sa Madrague tropézienne a répondu à la sollicitation de France-Soir.
FRANCE-SOIR. Quel regard portez-vous sur ces « années d’insouciance » exposées à Boulogne-Billancourt ?
BRIGITTE BARDOT.
Du haut de mes trois quarts de siècle, je regarde cette merveilleuse exposition comme un hommage extraordinaire, un miracle qui nous ramène cinquante ans en arrière lorsque la vie était facile et belle.
Quelles images gardez-vous du film de Roger Vadim, Et Dieu créa la femme ?
Un souvenir lointain mais formidable, tourné à, Saint-Tropez, qui était encore merveilleusement joli et désert, avec des gens que j’aimais et qui me laissaient une grande liberté d’interprétation.
Aviez-vous conscience, à l’époque, de faire bouger les mœurs ?
J’avais surtout conscience de me faire bouger moi-même au rythme de toutes les danses.
Que vous a apporté la notoriété ? Ou au contraire, qu’a-t-elle abîmé dans votre vie ?
Elle m’a apporté le meilleur et le pire. Toute médaille a son revers.
Qu’est-ce qui a motivé votre envie d’arrêter votre carrière en 1973 ?
Une envie de mettre ma vie au service des animaux que je savais depuis longtemps martyrisés par les humains. On a cru à un caprice sans conséquence. On s’est trompé. Je ne suis jamais revenue sur ma décision et je ne regrette rien.
Aujourd’hui vous fêtez vos 75 ans. Le temps qui passe vous inquiète-t-il ?
Il y a le temps qui passe avec des résultats positifs dans le combat que j’ai choisi. Mais il y a aussi la perte de temps à attendre pendant vingt ou trente ans des résultats qui n’arrivent pas, alors oui ça m’angoisse.
Henry-Jean Servat, commissaire de l’exposition qui vous est dédiée, dit que votre rêve était de posséder une ferme et d’y soigner les animaux malades ou abandonnés. Avez-vous le sentiment d’avoir réalisé ce rêve en créant votre fondation ?
La réalité qui fut dure à créer, ma fondation à laquelle j’ai tout donné depuis 36 ans, cette réalité a dépassé tous mes rêves, mais à quel prix ? Au nom de combien de sacrifices, de luttes, de désespoirs !
Que pouvez-vous nous dire sur votre combat pour les animaux ?
C’est un quotidien de terribles réalités, d’agonies, de morts, de blessures, c’est une lutte incessante contre les martyrs, les douleurs que les hommes font subir aux animaux par inconscience, par connerie, par cruauté ou pour du fric. Il faut avoir beaucoup de courage, beaucoup d’obstination et d’amour pour supporter autant de détresses et essayer de les endiguer, de les soulager, de les prévenir aussi.
Votre franc-parler et vos écrits ont quelquefois créé la polémique. Quel est votre sentiment sur ce sujet ?
Mon franc-parler fait partie de ma personnalité, ça n’est pas aujourd’hui que je vais changer. Et si je dénonce les choses haut et fort c’est qu’elles existent, que tout le monde s’en fout. Mon insolence fait réagir. C’est mieux que de déverser des tonnes de lait dans le ruisseau !

Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Maaxtal 294 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazines