(sommes-nous dans une perspective de glissement inéluctable vers une dictature "molle" mondiale, sans possibilité d’y échapper…)
Introduction : par définition tout régime dictatorial se définit par (entre-autre) la privation des libertés
fondamentales de ces citoyens(nes) ; les dictatures économiques correspondent à cette définition (toutes les décisions importantes sont imposées au peuple, et de nombreux exemples récents
illustrent ce propos) ; et ce n’est pas l’organisation d’élections qui contredira cette assertion, ces dernières n’ont pas d’autre fonction que de parodier la démocratie* (*démocratie, la
vraie, celle qui est instituée par et pour le peuple, où toutes les décisions se font en concertation avec le peuple). Tous le monde (ou presque) sait que les promesses électorales n’engagent que
ceux qui y croient (dixit Pasqua, un grand démocrate comme chacun a pu le constater durant sa longue carrière politique, notamment les Africains avec
l’implantation de "réseaux Pasqua"). Le personnel politique, élus nationaux, régionaux, et parfois locaux (ce sont bien souvent les mêmes, grâce à la combine du cumul des mandats) hommes d’état
et de gouvernement, servent presque exclusivement des intérêts privés (les puissances d’argent), au détriment de l’intérêt public (l’intérêt commun ne les effleure même pas) ; une caricature
du pouvoir dont Sarkozy en est la sinistre illustration… '...)