Diomède sur Direct Sport, Mavuba chez les spécialistes, Bruckner chez Taddei : les grands talk show peuvent-ils encore passionner avec les sujets de société ?
Deux matches officiels à la place d’amicaux qui ne servent à rien : l’équipe de France a trouvé comment se préparer au mieux à la Coupe du Monde. Y aller avec André-Pierre Gignac, c’est un beau challenge, lui même ne rêvait-il pas du maillot bleu quand il jouait à Pau ? C’était il y a quatre ans. Et quand il ne jouait pas à Toulouse ? C’était il y a deux ans. L’apprentissage accéléré, c’est simple comme un triplé contre les Féroé. Pour la Roumanie, on attendra, Anelka et Saifi ne peuvent pas toujours fournir.
Les défis du sport français sont décidément légion, puisque le sport collectif se cherche un nouvel étendard. Villeurbanne s’est permis d’y croire, ça fait deux défaites. Le Montpellier handball aussi, ça fait une contre performance en Roumanie, rien de définitif : d’autres s’en sont remis, rendez-vous en Serbie. Orléans tente sa chance en Euroligue à son tour, pourquoi pas un champion d’Europe en rugby tant qu’on y est. Au moins, ça ne passera pas à la télé. Ca passe déjà ?
Richie cuni gamme
Gasquet, lui, a le choix du défi. Le premier, c’est de rejouer au tennis, Ferrer est encore trop fort en coup droit, en revers, en service, en retour, en break, en mental, il a tous les coups. Heureusement qu’il ne boucle pas une saison de post dépression qui lui évitera le Masters. Le second, c’est de jouer le TAS, à ne pas confondre avec la pétasse. Attention, la méprise peut valoir aussi cher qu’une vodka pomme de champion.
Pendant ce temps-là, Vendenbroucke et Maier s’en sont allés. Qui était le plus au sommet de son art ?