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H1N1-mania : et si on réfléchissait un peu ?

Publié le 22 octobre 2009 par Cafatica

Dans un sondage TNS-Soffres du 24 septembre 2009, les français se montrent réticents à se faire vacciner :
11% envisagent de se vacciner contre la grippe saisonnière seule
5% envisagent de se vacciner contre la grippe A seule
25% envisagent de se faire vacciner contre les deux,
54% n'envisagent aucun vaccin grippal.
Le sondage révèle également que 52% des français se méfient du vaccin contre la grippe A.

Et en effet, il y a de sérieuses questions à se poser à propos de cette nouvelle campagne de vaccination : 
Lors de l'apparition du tout premier cas de grippe A au Mexique, fin avril 2009, les médias ont largement indiqué que la durée d'incubation de la maladie était d'environ 3 jours,  ce qui suppose qu'au maximum 8 jours avant l'apparition de ce premier cas, cette maladie était totalement inconnue au Mexique... 
Comment se fait-il alors que près de deux mois avant l'apparition du premier cas, un communiqué de presse en date du 9 mars 2009 (AFP), lors de la visite de Nicolas Sarkozy au Mexique, indiquait que le laboratoire Sanofi-Pasteur signait un contrat de 100 millions d'euros pour la construction d'une usine de production de vaccins contre la grippe,  construite "selon les standards permettant à Sanofi-Pasteur de basculer aisément de la production du vaccin contre la grippe saisonnière à celle du vaccin contre la grippe pandémique, dans l'éventualité où une pandémie de grippe humaine vienne à être déclarée, et une fois la souche du virus grippal identifiée par l'OMS".
A moins d'avoir des pouvoirs surnaturels de prémonition, comment les signataires du contrat pouvaient-ils prévoir qu'une pandémie grippale se déclarerait 90 ans après la dernière du genre (l'épidémie de grippe espagnole de 1918/1919) et, de surcroît, que le premier cas apparaîtrait pile dans le pays où le marché a été conclu (le Mexique) ? Une "coïncidence", sans doute.
Le contrat a été conclu le 9 mars 2009, et un premier cas de grippe se déclare quelques semaines plus tard ; pourquoi, à la même période, le 27 avril 2009 (encore une coïncidence, bien sûr), l'OMS a-t-elle subitement modifié sa définition de la pandémie ? Auparavant, pour déclarer une pandémie, les contraintes étaient beaucoup plus sévères. Aujourd'hui, il suffit simplement que deux pays d'une même zone OMS soient touchés par une flambée de la maladie ! Rappelons qu'il y a plus de 192 pays dans le monde...
Et pourquoi, en relevant l'alerte pandémique au niveau 6, l'OMS n'a-t-elle toutefois pas jugé utile de restreindre les voyages, qui constituent la meilleure façon de propager un virus sur l'ensemble du globe ? Dautant plus qu'avant le niveau 6, la pandémie avait été déclarée "imminente", mais malgré ça, pas la moindre mesure concrête n'a été prise : pourquoi ?
Bien avant tout cela (et notamment avant le contrat), pourquoi la ministre de la santé Roselyne Bachelot a-t-elle demandé début février 2009, à un groupe de légistes constitutionnalistes, un mémo sur la question suivante : l'imposition d'un plan de vaccination à toute la population serait-elle illégale et anticonstitutionnelle ? 
Comment pouvait-elle envisager un plan de vaccination de l'ensemble de la population alors qu'il n'existait encore aucun cas de grippe ? Les experts lui ayant répondu négativement, le contrat de fabrication de la nouvelle usine de vaccins est, comme par hasard, conclu une dizaine de jours plus tard.
Pourquoi, le 25 juillet 2009, la secrétaire d'Etat à la santé aux Etats-Unis, Kathleen Sibelius, a-t-elle signé un document fédéral qui garantit l'impunité aux officiels de la santé, aux fabricants du Tamiflu et du Relanza, ainsi qu'aux laboratoires commercialisant les vaccins ? Cela laisse entendre qu'elle sait déjà qu'il y aura des dégâts et prévoit déjà un moyen d'échapper aux poursuites, comme elle sait également que la plupart des grandes compagnies d'assurance refusent de couvrir les accidents qui pourront découler de la campagne de vaccination.
Comment se fait-il que l'épidémie actuelle apparaisse au moment même où la firme pharmaceutique Baxter vient d'admettre qu'un vaccin grippal expérimental a été contaminé par le virus H5N1 de la grippe aviaire ? Ce mélange de virus de la grippe humaine H3N2 et de virus de la grippe aviaire H5N1 qui n'étaient pas correctement identifiés a été envoyé à une firme autrichienne qui a expédié des échantillons du mélange à des sous-traitants en république Tchèque, en Slovénie et en Allemagne. C'est le sous-traitant tchèque qui s'est aperçu du danger et le laboratoire national de microbiologie du Canada a alerté l'OMS. Comment ce laboratoire peut-il, "par accident", avoir introduit les deux virus H5N1 et H3N2 dans le matériel vaccinal, alors que ce mélange de souches (appelé réassortiment), est l'une des deux manières de créer de toutes pièces un virus pandémique ? Le chercheur australien Adrian Gibbs, l'un des créateurs du Tamiflu, estime, comme d'autres chercheurs, que le virus H1N1, qui comporte des souches très différentes, porcine, aviaire et humaine, ne peut être que le fruit d'une manipulation génétique (Australian Vaccination Network, Inc / PO Box 177 / Bangalow / NSW / 2479 Australia)...
Pourquoi se garde-t-on bien de nous rappeler que Baxter Pharmaceuticals a déjà été impliqué dans quelques graves scandales ? En 1996, des composants contre l'hémophilie ont été contaminés (toujours "accidentellement") par le VIH (sida) et injecté à des dizaines de milliers de personnes. Récemment, une substance contaminante non encore identifiée, responsable de 19 décès aux Etats-Unis, a été découverte dans des lots d'héparine du même laboratoire. Pourquoi malgré ces antécédents et ces "accidents", l'OMS a-t-elle passé une juteuse commande de vaccins auprès de ce laboratoire aux compétences plus que douteuses ?
Comment se fait-il que le brevet du vaccin contre la grippe H1N1 a été déposé en 2007, bien avant la réapparition du virus, disparu depuis 1918/1919, date de la fameuse épidémie de grippe espagnole ?
Si l'on revient un peu sur la grippe espagnole de cette époque, il faut savoir qu'elle s'est déclarée pour la première fois en 1918 dans le camp militaire de Fort Riley, au Kansas. Dans ce camp, avant leur départ pour l'Europe, les soldats furent massivement vaccinés contre la variole, la diphtérie, le tétanos, la rage et la typhoïde. Les médecins de l'époque notèrent qu'un grand nombre de soldats sont morts très peu de temps après tous ces cocktails vaccinaux ou ont manifesté les symptômes des maladies même contre lesquelles on les avait vaccinés. On vaccina ensuite massivement la population civile, et c'est après toutes ces vaccinations massives que l'épidémie de grippe espagnole s'est déclarée, faisant entre 20 et 40 millions de morts. Curieusement, la Grèce et quelques autres pays qui avaient refusé ces vaccinations de masse échappèrent comme par miracle à une épidémie de la grippe espagnole.
Pourquoi malgré l'extension de la vaccination anti-grippale, des milliers de personnes continuent de mourir de la grippe, sans diminution significative de leur nombre?
Pourquoi les médias ne prêtent-ils pas la moindre attention aux victimes de la grippe saisonnière alors que chaque cas de grippe porcine, même bénin, fait la une des journaux ?
Comment l'infime dangerosité de la grippe A peut-elle justifier la
commande française de 94 millions de doses de vaccins, pour un millard d'euros, en pleine crise économique, alors que d'autres secteurs de la santé manquent cruellement de fonds ? 
Pourquoi 600 neurologues britanniques ont-ils reçu, le 29 juillet 2009, une lettre confidentielle du Health Protection Agency (HPA), les invitant à être particulièrement attentifs à une future recrudescence du syndrome de Guillain-Barré ? En 1976, la vaccination massive contre la grippe porcine fut rapidement interrompue... parce qu'elle engendrait, entre autres graves complications, des syndromes de Guillain Barré. Cela signifie que les autorités britanniques, avant même le début de toute campagne de vaccination, redoutent déjà une augmentation de syndromes de Guillain-Barré. 
Par ailleurs, dans de nombreux pays d'Europe, les médias ont très peu parlé de la grippe A. Ainsi, en Espagne, la population n'a pas du tout été alertée par le problème, alors que les personnes atteintes du virus H1N1 ont été plus nombreuses en Espagne qu'en France. Pourquoi a-t-on alarmé les populations dans les seuls pays producteurs de vaccins (USA et France), alors que le nombre de cas recensés était 1000 fois inférieur à ce que le monde connaît chaque année pour la grippe saisonnière ?
Si les vaccins ont si peu d'effets secondaires, comment se fait-il que le nombre de scléroses en plaques en France soit passé de 25 000 à 85 000 depuis la campagne de vaccination contre l'hépatite B ? Une coïncidence de plus, bien sûr...
Les lots de vaccins des firmes Glaxo Smith Kline (GSK), Sanofi-Pasteur et Novartis contiennent tous du squalène, un adjuvant cité dans de nombreuses études scientifiques comme étant un facteur de déclenchement de diverses maladies et de ce qu'on appelle "le syndrome de la guerre du Golfe" (car les anciens combattants de 1990-1991 furent plus touchés que le reste de la population), qui se caractérise par des troubles du système immunitaire et des malformations congénitales. Les résultats d'une étude publiée en 2000 dans l'American Journal of Pathology ont démontré qu'une seule injection de squalène chez les rats provoquait "une inflammation spécifique et chronique des articulations", plus connue sous le nom de polyarthrite rhumatoïde.
D'autres adjuvants comme du mercure et de l'aluminium (provoquant une intoxication aux métaux lourds, dont l'organisme a beaucoup de mal à se débarrasser) sont également présents en quantité très élevée en raison des nécessités de production intensive pour la "pandémie" : le manque de matériel-souche disponible serait compensé par une plus grande quantité et combinaison d'adjuvants, "afin d'assurer l'efficacité du vaccin". Ce qui d'emblée invalide les déclarations selon lesquelles des vaccins "sans adjuvants" verraient le jour.
Selon l'OMS, il faut 5 à 6 mois pour réaliser un vaccin testé deux semaines sur l'animal, et davantage s'il doit être testé sur l'homme.  L'OMS précise : "dans certains pays, chaque nouveau vaccin antigrippal doit être testé sur un petit nombre de personnes pour montrer que son action est bien celle escomptée. Certains pays n'imposent pas cette étape, car de nombreux essais cliniques ont été déjà faits, et l'on part du principe que le nouveau vaccin contre la grippe pandémique aura des propriétés similaires". Cela signifie que, sous prétexte que les essais cliniques ont été faits pour le vaccin contre la grippe saisonnière, on s'exonère de les faire pour le vaccin contre la grippe A, simplement en "partant du principe" que ça sera "similaire". Quelle belle rigueur scientifique...  Le 29 août 2009, le journal suisse
"Le Matin" révèle que certains laboratoires comme Novartis , GSK et Baxter (les trois leaders qui se disputent le pactole de la grippe A...) ont déjà obtenu en 2005 une autorisation de mise sur le marché (AMM) "prototype", avec un changement de souche possible, contre le virus de la grippe aviaire H5N1, leur permettant de passer à la souche H1N1 "sans que la partie sécurité ne soit à refaire"... Autrement dit, parce qu'il faut aller vite, les laboratoires commercialisant les vaccins se passent de ce que tout travail scientifique rigoureux exige : des tests systématiques. Il s'agit "juste" de la santé de millions de personnes, mais on n'estime pas nécessaire de refaire de tests de sécurité...
Si propriétés similaires il y a, entre les différents vaccins anti-grippe, rappelons alors ce qu'indique en toutes lettres la notice du vaccin Vaxigrip (Sanofi Pasteur), utilisé chaque année pour la campagne de vaccination saisonnière en France : le syndrôme de Guillain-Barré y figure clairement parmi les effets indésirables, ainsi que des "troubles neurologiques" et une "paralysie d'une partie ou de tout le corps".
http://afssaps-prd.afssaps.fr/php/ecodex/notice/N0112839.htm
Si propriétés similaires il y a, rappelons encore qu'en 2006, s'est tenu à Rome un congrès international : le Projet Cochrane, visant à faire le point sur la vaccination contre la grippe (ordinaire) depuis 37 ans.
Dans le rapport, qui regroupait 51 études menées sur 260 000 enfants, les chercheurs ont abouti à la conclusion qu'il n'existait pas la moindre preuve que la vaccination des enfants âgés de 6 à 23 mois avait une quelconque efficacité. 25 autres études, menées sur 60 000 adultes, montrent que la vaccination ne réduit le risque d'attraper la grippe que de 6% pour cette tranche de la population.
Le rapport conclut alors "we conclude that observational studies substantially overestimate vaccination benefit" : les bénéfices de la vaccination ont été surestimés.
Source :
the Cochrane database of systematic reviews,  1-2006
Par ailleurs, dans le journal britannique "The Lancet infectious diseases" de février 2005 (vol. 165, N°3), le Dr Simonsen (université G Washington) constate que l'augmentation massive de la vaccination des gens âgés n'a eu aucun impact sur leur taux de mortalité liée à la grippe :
en 1980, la couverture vaccinale aux USA était de 15% de la population ; aujourd'hui elle est de 65%, or il n'y a aucune diminution des décès causés par la grippe.

Des questions se posent également quant au protocole de vaccination. La vaccination se déroulera dans des centres dédiés à cette opération, et on ne pourra ni acheter les vaccins en pharmacie, ni se le faire inoculer par son médecin, ce qui soulève un important problème de traçabilité, notamment en cas d'accident post vaccinal.
En attendant les vaccins, les seules mesurettes prises par nos autorités consistent simplement à utiliser des "solutions hydro-alcooliques". Sachant que le virus se transmet par les voies respiratoires, pourquoi  se tartiner maniaquement les mains d'une solution qui ne remplacera de toute façon pas l'eau et le savon ? On peut attraper la grippe simplement si une personne tousse ou éternue à côté de soi, quand bien même on aurait les mains passées à l'eau de Javel. Se laver les mains reste le B.A-BA de l'hygiène, bien entendu ; mais c'est ridicule de croire que cela nous empêchera de tomber malade, et surtout, c'est faux. 
Une autre mesure préconisée consiste à tousser et à éternuer dans sa manche pour ne pas postillonner nos vilains microbes sur les autres. En gros on nous dit d'avoir des mains impeccables, mais des pulls pleins de morve... Les microbes sur les mains, non ! mais sur le pull, oui !.. 
A côté de ces mesures inutiles, rien n'est fait pour limiter les grands attroupements. Pourquoi la techno parade n'a-t-elle pas été annulée, où des millions de gens se sont entassés dans les rues, alors que la "pandémie" était déjà déclarée ? Pourquoi ne ferme-t-on pas les discothèques, lieux propices à la circulation de toutes sortes de virus ? Pourquoi aucune mesure n'est prise pour limiter l'affluence dans les transports en commun, là aussi lieux privilégiés pour attraper des virus contagieux ? ... Bref, pourquoi ne fait-on strictement rien pour empêcher la propagation du virus, en ne limitant pas les grands rassemblements ? ce qui serait déjà plus efficace que de diffuser tous les soirs des spots publicitaires complètement infantilisants !
Pour finir, sachez que cette vaccination n'est obligatoire pour personne ; ainsi, si vous êtes parents d'enfants scolarisés et que vous refusez que vos enfants soient vaccinés, faites connaître votre refus avec une déclaration écrite d'opposition au vaccin :

Aucune précision n’apparaissant littéralement dans les textes d’organisation des vaccinations contre le virus H1N1, dans les écoles, l’autorisation parentale préalable à tout acte médical n’étant pas évoquée, la ministre ayant déclaré publiquement que cette vaccination ne serait pas obligatoire, veuillez trouver ci-dessous :


Déclaration d’opposition formelle et absolue à la vaccination contre la grippe pandémique


À (Monsieur, Madame, Mademoiselle) .......................................  responsable de la direction de l’établissement scolaire (L’école ………. Le collège ……. Le lycée …… L’université …………) 
 
Ou,en cas d’absence de la direction :  
À .........................................................  (le professeur des écoles, le professeur principal)
 
Je (nous) soussigné(s) (vos noms et prénom) détenteur(s) de l’autorité parentale sur
............................................................. (nom et prénom de l’enfant) (rédiger 1 lettre par enfant)
 
Je (nous) vous fais (faisons) savoir  que nous refusons formellement la vaccination contre la grippe A ou pandémique ou contre le virus H1N1 (ou tout autre vaccination). 
Je (Nous) vous demande (demandons) impérativement de prendre en compte cette interdiction quelle que soit la situation épidémique ou l’évolution de cette pandémie. 

 
Si vous passiez outre à cette interdiction, et malgré les relations que nous entretenons par ailleurs, je me verrais (nous nous verrions) contraint(s) de tenir la direction de votre établissement pour civilement responsable du non respect de notre décision ; et si par la suite, mon (notre) enfant développait un ou des effets indésirables à la suite de cet acte médical que j’ (nous) interdis(ons), c’est d’abord vers vous que je me (nous nous) retournerais (retournerions) pour l’indemnisation de ces derniers.

Nous vous rappelons que c’est un devoir pour un fonctionnaire de désobéir à un ordre de sa hiérarchie si ce dernier est manifestement illégal. Imposer un acte médical sans le consentement libre et éclairé de l'intéressé, au sens du code de la santé publique, est un acte illégal.

Je (nous) vous demande (demandons) donc de ne pas procéder à la vaccination de mon (notre) enfant, et suis (sommes) résolus à assumer nos propres responsabilités.  

Pour valoir ce que de droit. 


À ........................................................... le ........................................... 

Signature(s)

Vous pouvez diffuser massivement cette déclaration, notamment aux parents que vous connaissez, car évidemment ne comptez pas sur les copains de "Roselyne"  pour vous informer que vous pouvez vous opposer par écrit au vaccin... Ce ne serait pas bon pour les affaires ! Nous sommes libres de refuser le vaccin (puisqu'il n'y a pas d'obligation), à condition, pour vos enfants, de le mentionner par écrit.
Ce genre de lettre est d'ailleurs valable pour n'importe quelle autre campagne de vaccination à laquelle vous souhaitez vous opposer.
Depuis plusieurs années, encouragés par les hommes politiques, les représentants des lobbies pharmaceutiques se sont introduits dans les établissements scolaires pour y imposer, par la peur, l'obéissance au dogme vaccinal. La campagne anti-hépatite B en est un exemple éloquent. Ils pénètrent dans les écoles après les cours dans un but publicitaire inadmissible. Les enseignants deviennent les dociles serviteurs de cette idéologie et sont en quelque sorte contraints de professer les bienfaits des vaccinations dont ils ignorent les dangers. Lors de la campagne anti HB, certains enseignants ont désapprouvé ces méthodes et se sont plaints à leur hiérarchie, mais la plupart se sont faits volontiers les propagandistes des laboratoires.
De nombreux médecins libéraux sont choqués par ces pratiques de vaccinations intensives qui inoculent à l'aveuglette des substances dangereuses sous couvert d'une illusoire "éradication" des virus (depuis Pasteur, non seulement on n'a jamais réussi à les éradiquer, mais en plus de nouveaux virus apparaissent ou réapparaissent sans cesse !). C'est un terrorisme médical inadmissible au seul service d'une stratégie marketing.
En un mot comme en cent :
REFLECHIR.
"Un individu conscient et debout est bien plus dangereux pour le pouvoir en place que 10 000 individus endormis et inconscients..." (Gandhi).


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