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Chirac en correctionnelle? Une infamie!

Publié le 04 novembre 2009 par Jean Noël Delorme

Chirac au Salon de l'agriculture [news] Fr2 240209
envoyé par 720par576. - L'info internationale vidéo.
 20 ans après les faits présumés, tout a été dit et jugé... dans cette sombre affaire des emplois dits fictifs de la mairie de Paris, et pourtant il se trouve encore un de ces juges indépendants pour poursuivre avec acharnement l'ancien Président de la République pour des faits qui, en d'autres circonstances, auraient été sinon prescrits du moins considérés comme relevant de la période précédant les lois sur le financement des partis....

On nous prend vraiment pour des benets, car tout le monde sait comment se finançaient, alors, tous les partis, sans exclusion!
Ces emplois "fictifs", disons plutot de complaisance, étaient monnaie courrante, la norme. C'était la partie visible de l'iceberg d'autres méthodes étaient, elles, beaucoup plus correctionnalisables...

Autres temps..Autres moeurs! il serait bon de passer à autre chose, sinon il faut aussi entendre tous les politiques de cette période, qu'il aient été Présidents de la République, députés, sénateurs, ou maires de grandes villes... Pas un ne peut en son for intérieur jurer qu'il n'a jamais, en terme d'emploi, favorisé un de ses militants ou adjoints...

Aujourd'hui, ces méthodes ne sont plus utilisées! Enfin officiellement... La loi n'est elle pas faite justement pour définir des limites qui, plus elles sont précises, plus elles sont aisées à détourner?

Ainsi ,vous êtes un politique élu, comment récompenser un fidèle qui vous a bien aidé et continue à le faire?
C'est facile, suggérez lui de créer une association dans son domaine de compétence, puis faites attribuer à cette dernière une bonne subvention et le tour est joué!
Votre affidé pourra se payer un salaire de permanent et même en faire profiter quelques proches; personne n'y trouvera à redire ... surtout si c'est dans le domaine culturel...

Pour en revenir à Jacques Chirac, son plus gros défaut, c'est d'être un des derniers survivants du Gaullisme et l'homme politique préféré des français.

Notoriété, affection du petit peuple, estime internationale... rien de tel pour donner de l'urticaire aux successseurs, heureusement en voie de disparition,r des fameux commissaires du peuple, de siniste mémoire.

De l,à à amener sur le banc d'infamie celui qui, pour beaucoup, représente encore l'image de la France, il y a de quoi provoquer une Jacquerie!




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