Le mariage du virus et du mensonge. La grippe c'est plutôt : ah, ça ira, ça ira...on les pendra ?!

Ne vous fiez pas trop à la mascarade des vaccinations devant caméras : on administre peut-être que de l'eau dans le muscle des "braves" qui se prêtent à la propagande... Mais vous, à quoi aurez vous droit ? Un aller-simple ?

Les faits :
1/ Art 3110-3 du code de Santé publique, vous ne pourrez pas vous retourner contre les fabricants ni les médecins (Bachelot ment donc dans la vidéo)
Mieux : c'est l'Etat, donc vous et moi, qui paiera la note des infirmités à venir ! De la dette, encore de la dette, pour finir de mettre le pays en faillite... et l'abandonner aux charognards.

2/ Jeudi 12.11.2009 : première journée de vaccination officielle de la population contre le pseudo-virus H1N1 made in Baxter ! (a partir du 25 novembre pour les jeunes dans les établissements scolaires) Résistance pour sauver nos jeunes !
La prudence conseille de ne pas retourner l'autorisation de vaccination, et bien sûr de ne pas utiliser le Bon de la Sécurité sociale. Celui-ci pourrait être destiné aussi à "enregistrer" les "vaccinés" et ceux qui ne le seront pas dans un futur fichier.

La prudence conseille encore d'envoyer à la place un courrier en recommandé avec Accusé de Réception déclarant votre opposition absolue à la vaccination de vos enfants mineurs, en tant que parents, au seul Directeur de l'Etablissement.
Tout le monde n'attrapera pas la grippe, si elle existe, car cela dépend de votre bonne santé et celle de votre système immunitaire. Aucun vaccin ne peut rivaliser avec les substances naturelles secrétées par le corps pour se défendre contre les intrus qui pénètrent tous les jours dans votre organisme.
On ne meurt pas de la grippe, seulement, paraît-il, de complications qui peuvent lui succéder ou se développer. Seules les personnes fragilisées par l'âge ou d'autres complications de santé doivent faire l'objet d'une surveillance. Ces personnes sont justement celles qui supporteraient peut-être le moins un vaccin qui consiste toujours à inoculer le virus pour obtenir des anti-corps ! Consulter votre médecin traitant (si la confiance règne entre vous) ou un autre de votre choix.
Les hôpitaux sont là pour faire face aux cas les plus graves : ils sont suffisamment bien équipés en France. La grippe reste une mauvaise expérience (3-4 jours à 39 ° au lit) avant le rétablissement progressif, aux dires des médecins les plus consciencieux qui emploient le terme de "gripette" comme les autres...  Mme Bachelot est-elle Médecin ?
Mme Bachelot le matin : "la vaccination est une chance.... on doit beaucoup à la vaccination..."
Jeudi, le soir : 1 er cas du syndrome de Guillain-Barré sur une professionnelle de la santé s'étant faite vacciner !
Sur 6 millions de personnes convoquées en utilisant la bonne image de la Sécurité sociale, parions qu'il y aura bien 1 million de personnes qui viendront chercher leur sclérose en plaques, leur syndrome de G-B, ou encore un petit Lupus... (V. les cas précédents de vaccination qui se sont mal passés sous Douste-Blazy et Kouchner)

Un cas probable d'une maladie inflammatoire du système nerveux qui pourrait être lié à la vaccination contre la grippe A(H1N1) a été signalé en France, a annoncé jeudi soir le ministère de la Santé. Lire la suite l'article
L'annonce est survenue le premier jour de la campagne de vaccination. Il s'agit d'un cas de syndrome de Guillain-Barré découvert mardi dernier dans le cadre du dispositif de pharmacovigilance de la vaccination de la grippe A(H1N1), précise le ministère. Une enquête est ouverte par le ministère.
"Il s'agit d'une forme modérée et uniquement sensitive, qui a évolué favorablement", précisent les services de Roselyne Bachelot dans un communiqué.
Le ministère relativise l'importance de la découverte. "Chaque année en France, 1.700 à 1.800 cas de syndrome de Guillain-Barré donnent lieu à une hospitalisation, soit cinq par jour. Dans la plupart des cas, la survenue d'un syndrome de Guillain-Barré est liée à un épisode infectieux, bactérien ou viral, dont la grippe", précise-t-il.
La première journée de campagne de vaccination a connu un succès très mesuré, les enquêtes montrant une méfiance des Français envers le vaccin. Les contrats avec certains laboratoires prévoient de fortes garanties pour ces derniers en cas d'effets secondaires et de procès.