La criminalité sur la toile semble augmenter en Iran comme ailleurs mais je ne peux m'empêcher de penser à une mise sous surveillance généralisée de la population, sur le net ; elle avait fait défaut après (et un peu avant aussi) la réélection du président Ahmadinejad.Nous allons donc peut-être assister à une nouvelle reprise en main, moins visible. Un contre-révolution cyberpolitique serait à l'oeuvre à Téhéran (pour reprendre la terminologie d'Electrosphère cf. ci-dessous) Vous pourrez lire sur le sujet :- Téhéran 2.0 ou la révolution cyberpolitique
- Facebook disparaît de la toile iranienne
- Chroniques orientales (juin)
