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LES TONTONS FRAUDEURS... de la politique !

Publié le 14 novembre 2009 par Sniper
LES TONTONS FRAUDEURS... de la politique !

 

Voici en exclusivité ce que l'on pouvait entendre, dans la petite église Saint-Germain de Charogne, au fond du passage de Corinthe, rue des caves dans le XXe de Paname :

 


- BALLADUR : « Quelqu'un peut me dire ce que je fais là ? »

- PASQUA : « Je vais me faire un malin plaisir de te rafraîchir la bouteille ! »

- BALLADUR : « Mais enfin… »

- JUPPE : « Au nom du père, du fils… »

- PASQUA : « …de la rue Jacob ! Dans un appartement de 189 mètres carrés à coup de millions de travaux aux frais des contribuables ! Ah elle est belle la crucifixion du fils ! »

- JUPPE : « Pourquoi être seulement désagréable lorsqu’on peut être parfaitement odieux ! Vous êtes vraiment à l’image de vos pires critiques ! Priez donc pour votre propre salut vieil oncle enrhumé !»

- PASQUA : « Et le saint cierge c’est un emploi fictif ? »

- JUPPE : « Mais je vois que le cave se rebiffe ! Je pense avoir porté ma croix durant assez longtemps non ?! Toujours aussi vindicatif le Don Vito Corleone de Grasse !? »

- BALLADUR : « Quelqu’un peut me dire ce que je fais parmi vous ? »

- CHIRAC : « On se calme messieurs ! On est dans une église tout de même ! On vous regarde ! Vous savez être discret quand vous le voulez ! »

- PASQUA : « Du calme vous allez en avoir Jacques, croyez-moi ! Il n’y a pas qu’entre les murs froids d’une paroisse que l’on peut en trouver ! »

- DE VILLEPIN: « Elle ne vous a pas encore quitté Bernadette depuis le temps que vous traînez ces boulets, maître Jacques ? »

- CHIRAC : « Elle ne peut pas me quitter ! Je ne suis jamais là ! »

- BALLADUR : « Mais heu… »

- PASQUA : « En tout cas, il faudra plus que des pièces jaunes pour vous libérer du cachot ! »

- CHIRAC : Ce n’est parce que vous avez décidé de jouer le donneur, qu’il faut vous sentir obliger de donner une leçon de moralité ! »

- JUPPE : « Et pan ! Dans l’Angola du Pasqua ! »

- PASQUA : « Oh c’est fin ça ! Ça joue la proximité du peuple ! Ça sert des mains à tout va, sourire aux lèvres, mais ça n’oublie pas de prendre la montre et les bagues avec ! »

- BALLADUR : « Qui a parlé de Julien Dray ? »

- DE VILLEPIN : « Quand on joue avec la poudre, faut pas s’étonner de se brûler les doigts ! »

- PASQUA : « Mais de quoi elle me parle la girafe de Clearstream ? »

- DE VILLEPIN : « Je dis que les dessous de table semblent cousus de fils d’or fin ornés de diamants chez vous ! »

- PASQUA : « Dites donc ! Quand on veut la tête d’un homme, on n’oublie pas la pelle et la pioche près de la fosse ! »

- BALLADUR : « Bon, qui peut me dire…. »

- UN CROYANT : « Chuuuuuuuut ! »

- PASQUA : « Oh nom du père ! »

- CHIRAC : « Du fisc ! »

- PASQUA : « En pleine douche froide, je n’aime pas en plus me faire tarauder la péteuse quand on me passe un savon ! »

- CHIRAC : « Vous savez Charles, je vis depuis des siècles avec le Chodron de Courcel ! »

- JUPPE : « Vous avez largement payer votre BernaDETTE ! Si j’ose m’exprimer ainsi ! »

- CHIRAC : « Je peux vous demander quelque chose Alain ? »

- JUPPE : « Oui ? »

- CHIRAC : « N’osez plus ! »

- BALLADUR : « Bon, une fois de plus, je vous demande… »

- PASQUA : « Quand je pense que vous êtes tous là à cracher sur le nabot, et que maintenant que le sens du vent a changé, vous êtes tous devenus aussi pâles qu’une merde de laitier ! »

- DE VILLEPIN : « Écoutez ! Je suis ici par la volonté d'un homme. Je suis ici par l'acharnement d'un homme ! »

- PASQUA : « Oui ! Vous ! »

- DE VILLEPIN : « Mais enfin ! Je n’ai rien contre ce.... minable pygmée polak ! »

- CHIRAC : « Tu veux un mouchoir ? »

- DE VILLEPIN : « Pourquoi ? »

- CHIRAC : «  T’as la gueule dans la bavure… »

- BALLADUR : « Quelqu’un peut au moins me dire si elle est bien ma cravate ? »

- DE VILLEPIN : « Écoutez ! Moi en tout cas, j’ai peut-être la gueule d’un taureau sacrifié dans une arène, mais je ne joue pas la balance ! »

- PASQUA : « Et il vise qui le héron ? Là ? »

- CHIRAC : « Allez ! On se calme ! »

- DE VILLEPIN : « Je suis d’accord ! Il faut faire pénitence de tous vos péchés ! » 

- JUPPE : « Écoutez-la la tour de Pise ! Elle n’arrête pas de sonner les cloches et elle va bientôt nous dire qu’elle penche à gauche ! »

- DE VILLEPIN : « Attendez ! Je ne suis pas encore un homme fini !...... moi !  »

- CHIRAC : « Mais moi je suis de gauche ! Je mange de la choucroute et je bois de la bière ! »

- PASQUA : « …et tu as les mains sales ! »

- CHIRAC : « …et je m’en lave les mains ! »

- PASQUA : « Oh ! Cela te va bien d’affranchir le bon mot ! De passer pour le bon samaritain, et finalement du gentil président, aussi mou que son fromage ! Je t’accuse Jacques de n'avoir pas assumé tes responsabilités. Il en est de même pour toi Dominique ! C’est bien beau de jouer le Dark Maul de l’empereur mais vous avez tous deux manqué à votre devoir ! J’affirme haut et fort, et devant le père Céleste, que pour l’Angolagate vous étiez informés ! Vous sans oublier votre ami Charles Million ! Et j’ai la note de la DGSE pour preuve qui stipule que vos camarades du gouvernement angolais ont reçu de grandes quantités de matériel militaire par l'entremise d'un intermédiaire français officiellement non autorisé ! Vous voulez aussi que je vous fasse un dessin ?! Hein ? »

- CHIRAC : « Charles ! Le chien aboie mais la caravane roule dessus pour le calmer ! Tenez ! Mangez donc une pomme ! »

- PASQUA : « Je ne mange pas à la gamelle populaire ! Quand le gratin du milieu s’est mis à brasser de l’argent et à gagner de l’or, les auréoles avaient tendance à disparaître ! Me faites pas passer pour un cador ou un penzizi ! Le Balladur, avec sa fiole de vieux goéland, a vite fait de perdre la mémoire aussi ! »

- BALLADUR : « Je vous demande de vous arrêter ! Je vous demande de vous arrêter ! »

- PASQUA : « Arcadi Gaydamak n’est pas un personnage d’Hergé il me semble !»

- JUPPE : « A ce propos, comment vont vos amis des RG ? Car vous aviez l’honneur d’être dans les carnets intimes d’Yves Bertrand non ? Vous avez eu chaud aux fesses avec l’affaire Elf ! »

- CHIRAC : « Hé ! Hé ! Dans cette affaire, les avions ne reniflaient pas que du pétrole… »

- PASQUA : « Oh ? Y a un pilote dans l’avion ? Les 900 000 francs pour libérer les pilotes tombés en Bosnie, je les ai sorti du chapeau de Garcimore ? »

- DE VILLEPIN : « Y en a un, qui doit se sentir à l’étroit dans sa tombe ! »

- JUPPE : « Hey ! On évite de parler de viande froide dans une église ! »

- CHIRAC : « Oui ! Un peu de respect pour nos chers disparus ! Évitons de parler du parti socialiste ! »

- BALLADUR : « Je viens de comprendre... »

- JUPPE : « Et Falcone dit « la banane », il a agit tout seul peut-être ? La Sofrémi dépendait de vous non ? Mais vous n’étiez pas au courant là !»

- CHIRAC : « Flambée la banane ! »

- BALLADUR : «...votre blague sur les avions renifleurs ! »

- DE VILLEPIN : « Pour ma part et au nom du peuple français, j’en sortirai libre et blanchi ! »

- PASQUA : « Aussi blanc qu’un mineur noyé dans sa merde ! »

- DE VILLEPIN : « Bon écoutez ! Je suis là pour prier et non pour écouter vos vieilles branches tomber ! »

- JUPPE : « Je ne voudrais pas rajouter une couche d’humus mais un premier ministre, on le lèche, on le lâche, on le lynche ! On est peut-être des vieux chênes… mais cessez de nous prendre pour des glands !» 

- PASQUA : « Année de glands ! Année d’argent ! »

- CHIRAC : « Abracadabrantesque ! »

- BALLADUR : « Bon ! Je vous demande... »

- PASQUA : « J’espère que vous vous êtes mis au Sudoku monsieur le président ?! Car vous allez en côtoyer des grilles ! Et bien plus épaisses ! »

- CHIRAC : « Figure toi que j’ai arrêté depuis que j’ai la justice au cul ! »

- PASQUA : « Vous avez trahi ma confiance Jacques ! »

- CHIRAC : « On ne trahit pas ce qui n’existe plus ! »

- PASQUA : « Je vous promets que je tomberai pas seul ! »

- CHIRAC : « Les promesses des hommes politiques n’engagent que ceux qui les reçoivent ! »

- BALLADUR : « Je pisse au cul de la Sainte Vierge ! »

- CHIRAC, PASQUA, DE VILLEPIN, JUPPE : « Comment Edouard ????!!! »

- BALLADUR : « Heu… Je disais que je n’ai rien à faire là !...heu… avec vous ! »

- PASQUA : «  Edouard ! Votre goitre est aussi grand que votre hypocrisie !  Vous avez raccourci les retraites des français ! Mais je m’en vais vous prolonger la vôtre ! »

- BALLADUR : « Oh vous le prieuré du Fion ça suffit ! Levez votre fichu secret défense mais fermez là une fois pour toute ! »

Les dialogues sont d'SB LE SNIPER

mais avec l'aimable participation de JACQUES CHIRAC, CHARLES PASQUA, ALAIN JUPPE, EDOUARD BALLADUR et DOMINIQUE DE VILLEPIN !

Une parodie, un film, un fake, un photomontage signé...

©SB LE SNIPER



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