Ce texte s'adresse aux procureurs et aux préfets, "L'action humanitaire, c'est la réponse à une situation d'urgence, à un état de nécessité, à un besoin immédiat et ponctuel de protection et de prise en charge ; ce n'est pas un soutien actif et continu à la clandestinité pour des raisons lucratives ou pour faire délibérément obstacle à la législation applicable en matière d'entrée et de séjour en France" explique M. Besson.
A la lecture de la circulaire, plusieurs associations se sont montrées inquiètes : pour elles, ce texte remet en cause "le principe de l'accueil inconditionnel de toute personne, fût-elle sans papiers".
Source : leMonde.fr