One Tree Sim

Comment sait-on qu’on s’ennuie vraiment ?
J’ai un début de réponse pour vous. Hier, j’ai décidé de créer Tree Hill, la patrie des « Frères Scott » en village Sims. Avant de me lancer, je me suis longuement interrogée. Devais-je opter pour le Tree-Hill de la première saison où les garçons et leurs copines sont encore ados et donc chez leurs parents ou choisir de les élever à l’âge adulte ?

J’ai finalement opté pour un village Scott avec les personnages adultes. J’ai donc commencé par créer une Peyton, qui aspire à la famille ; une Brooke Davis habillée comme une pu-ssycat doll, qui veut se consacrer à l’amour (comprendre au sexe) ; un Lucas, et un couple formé par Haley, qui veut s'enrichir intellectuellemnt, et Nathan, qui porte un survêtement et aura bientôt des abdos en béton. Je triche un peu avec la réalité en n’attribuant pas immédiatement un Jamie à Haley et Nathan, qui doivent d’abord apprendre à se connaître et en ne faisant pas vivre ensemble Lucas et Peyton, histoire de donner une chance à Brooke. Ma version est un peu remixée.
Je pense en effet que dans mon « One Tree Hill » à moi, Haley va s’occuper sagement de Jamie, pendant que Nathan s’enverra Peyton, Brooke et…Lucas, tandis que Peyton et Brooke coucheront ensemble et se partageront Lucas. Une fois, que toutes ces relations incestueuses auront été consommées et que Peyton sera au top de sa carrière, qui sera à mon avis plus proche de « pique assiette professionnelle » que de productrice dans un label indépendant comme dans la série, elle aura un enfant avec Lucas. Brooke, de son côté, optera pour un Sim anonyme qui passe dans le quartier – je me demande d’ailleurs d’où ils débarquent – ou volera Nathan à Haley.

Mais, pour le moment, je dois en priorité m’atteler à souder Nathan, qui ne pense qu’à Brooke et Peyton, ses voisines, avec Haley, sa femme légitime, que j’ai peut-être moins gâtée physiquement que ses copines.
Une fois que mes Sims Scott seront au top, j’adapterai peut-être « Friends », à moins qu’une bonne âme me contraigne à retravailler sérieusement d’ici là (ceci n’est évidemment pas un appel au secours, quoique…).