
A la tombée de la nuit nous jouons aux osselets
Sur le seuil de la porte d’entrée.
Graves comme il sied à un dieu et à un poète,
Et comme si chaque osselet
Etait tout un univers
Et que pour cela ce soit un grand danger pour lui
Que de le laisser tomber par terre.
(Fernando Pessoa)
LES COMMENTAIRES (1)
posté le 14 août à 14:52
d un cap a l autre baccus et lusus nous ennivres et me rappelle bientot a eux tu trinques puis je me meurts au pluriel chaque fois que je vous te lis