Déception. Michel Girard a encore sa job. Non, mais, je n’en reviens pas. Il faut bien qu’un syndicat protège ses inepties. Autrement, je ne saisis pas. J’ai beau éplucher ses chroniques, je ne trouve rien de positif, d’analyse sérieuse ou un certain partage de découvertes. Vous allez me trouver dur mais je n’ai aucune compassion pour ceux qui s’accrochent à une profession qui manifestement, ne les fait plus vibrer. Même syndiqué, il faut avoir le courage de quitter sa job lorsqu’on s’emmerde comme ça! Pour vous en convaincre, lisez Sophie Cousineau, Richard Dufour, Bernard Moody, Gérard Fillion, René Vézina ou Pierre Duhamel… c’est ça le feu sacré!
En plus de ne rien nous apprendre, Girard repasse des clichés et demi-vérités parfois tellement grosses que j’ai souhaité un congé forcé de LaPresse durant les fêtes. Girard est un journaleux blasé et démotivé, il ne faut pas en douter. On me lui connaît que 3 ou 4 sujets; les méchants courtiers, percepteurs d’impôt, assureurs et initiés. Non, mais aucun chef de pupitre s’en aperçoit?
Ces dernières chroniques sont encore plus pauvres que la moyenne. Prenez celle du 30 novembre 2009. Il est question du «problème des fonds» et de l’attribution fiscale de fin d’année. Sa mauvaise foi crasse l’empêche encore une fois de se bouger les fesses et de téléphoner à des conseilles spécialistes en fonds.
Ce petit effort l’aurait empêché encore de passer pour un novice. Sa chronique est en retard d’une DÉCENNIE! Le problème des distributions taxables des fonds, n’en est plus un depuis 1999, minimum. Si on consulte un conseiller «à peine curieux, on sait qu’on ne prend JAMAIS les mêmes fonds pour son REER que pour son compte OUVERT (ou non enregistré). Il faut simplement ne pas acheter des fonds des banques et des caisses en dehors de son REER, FERR ou CELI.
Les grandes firmes comme Mackenzie (propriété de Power comme LaPresse

Imaginez, ça fait dix ans que la solution est là et utiliser par des millions de Canadiens. Mais lui ne le sait pas! Prenez Placement CI (détenu en partie par la Banque Scotia), leur structure en catégorie fiscale administre plus de 8 milliards en fonds fiscalement efficaces. Mais cela ,le marathonien de la lassitude journalistique ne l’a pas vu venir. Il était trop occupé à servir d’ambassadeur pour les extraordinaires billets à capital protégé de la Banque Nationale.
Suggestion à l’éditeur: Prendre la place de ses chroniques pour vendre plus de petites annonces ou juste une grosse pub des iShares de Barclays. Tout sera dit et Girard aura passé son message.