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JL Borloo - "Justicier" du climat à Copenhague

Publié le 04 décembre 2009 par Greg Catel

Quand quelques blogeurs rencontrent Jean-Louis Borloo dans les locaux du ministère, et quand le compteur qui nous sépare de Copenhague ne compte plus que quelques jours... cela donne une discussion très informelle avec un ministre qui se veut passionné, et ambitieux...

Borloo

Copenhague va au delà du climat...

Je voulais revenir un peu sur les Ateliers de la Terre, auxquels le ministre a participé la semaine dernière. En rappelant que Djibo Leyti Ka, le ministre sénégalais de l'environnement, annonçait que l'Afrique irait unie à Copenhague, et en faisant le pendant avec sa proposition de Plan Justice Climat, (qui crée un nouvel axe Europe - Afrique sur les questions de l'environnement et de l'énergie), j'ai demandé à Jean-Louis Borloo si il ne se positionnait pas, déjà, dans l'après Copenhague... comme pour pallier, déjà, à un échec annoncé...

"Il n'y aura pas de vrai résultat à Copenhague si il n'y a pas la mise en place d'un système simple sur l'adaptation des pays "vulnérables". Et le ministre de nous expliquer que lors des premières réunions préparatoires à Copenhague, il a ressenti ce moment où il y aurait, d'un côté les pays en voie de développement, et de l'autre, les pays industrialisés.

"Est ce que l'on peut accepter aujourd'hui qu'il y ait un continent sur la planète ou les habitants n'ont pas accès à l'énergie ?", demande JL Borloo. Et pourtant, " l'Afrique est le continent où l'énergie est la moins couteuse à produire". Biomasse, énergie solaire, barrages, etc... Ce plan pourrait facilement financer le passage de l'Afrique à une énergie 100% renouvelable. Si il se défend d'être un héros, le ministre français s'interroge : qui est allé voir le ministre éthiopien qui va parler à Copenhague au nom des 850 millions d'africains ? Personne... J'y suis allé deux fois... Quoi de plus normal ? Et de dire et redire: "les pays vulnérables ont besoin de financements spécifiques".

Tout comme Nicolas Hulot, que le ministre défend en me disant qu'il a été "profondément attristé" par les attaques dirigées ces derniers temps contre celui par qui sont venus le pacte écologique, le Grenelle... j'ai eu l'impression que Jean-Louis Borloo se dirigeait vers une vision plus humaniste d'un sommet qui ne sera pas, de toute manière, un point final, mais une étape essentielle.

GC.
@TheGreenPostBox.com


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LES COMMENTAIRES (2)

Par David C.
posté le 05 décembre à 02:18
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Copenhague : Annulons le sommet de la dépopulation ! Par Helga Zepp LaRouche (www.solidariteetprogres) Le sommet de l’ONU sur le climat, qui se tiendra à Copenhague du 6 au 18 décembre, avec la participation de 193 nations, 65 chefs d’Etats et de gouvernement et 20 000 délégués, repose sur une fraude gigantesque et doit être immédiatement annulé. Il ne s’agit pas uniquement d’économiser les frais d’un évènement dont le seul but est de promouvoir le malthusianisme, mais d’empêcher l’instauration de facto d’un gouvernement mondial. Alors que plus de mille scientifiques ont pris leurs distances avec la thèse du GIEC (Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat) sur un réchauffement global causé par l’activité humaine, les manipulations incroyables, récemment révélées par des pirates informatiques qui ont intercepté les courriels de certains chercheurs de l’Unité de recherche sur le climat (CRU) de l’université d’East Anglia, en Angleterre, fournissent la preuve ultime du caractère frauduleux de cette affaire. En réalité, les données statistiques brutes, non corrigées, provenant des stations météorologiques, indiquent peu ou pas de changement au cours des 150 dernières années. La moitié des observatoires décèlent même un léger refroidissement et constatent au contraire que depuis environ dix ans, nous assistons à un refroidissement global ! A quoi bon donc, une campagne aussi onéreuse pour prouver le contraire ? La réponse est claire : à part toute une armée de spéculateurs, qui voient dans le commerce des émissions de CO2 une nouvelle opportunité pour faire les poches de la population, il s’agit essentiellement d’une politique de l’Empire britannique, ou, plus précisément, du prince Philip d’Edimbourg. Ce dernier a exprimé à plusieurs reprises son souhait explicite de se réincarner en virus mortel, afin de contribuer plus efficacement à réduire la population. Le 12 novembre, le patron américain du Fonds mondial de la nature (WWF), organisme cofondé par le prince Philip, déclara à la presse : « Nous estimons fondamental pour le Président Obama de se rendre à Copenhague, afin de regarder les autres dirigeants dans les yeux, de leur communiquer notre engagement en tant que pays et d’obtenir le leur. » Et Obama d’annoncer promptement, revenant ainsi sur ses déclarations antérieures, qu’il ira à Copenhague le 9 décembre. De plus, il est monstrueux qu’une organisation officielle de l’ONU, en l’occurrence le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA), et le gouvernement danois veuillent mettre officiellement la question de la réduction de la population à l’ordre du jour du sommet sur le climat. Selon le journal danois Berlinske Tidende, la ministre danoise du Développement, Ulla Toerness, a admis le caractère controversé de cette proposition qui, dans plusieurs pays, demeure tabou. Mais puisqu’il y a un lien entre croissance démographique et changement climatique, cette proposition remporte aussi le soutien complet du Premier ministre danois. L’organisation britannique Optimum Population Trust (OPT), qui mène une croisade ouverte en faveur d’une réduction démographique globale, affirme dans une étude que l’une des meilleures façons de combattre le prétendu « réchauffement global » consiste à empêcher les naissances, parce qu’éviter la naissance de nouveaux « pollueurs » est un moyen bien moins coûteux d’endiguer la « catastrophe climatique » que d’acquérir des sources d’énergie renouvelable. Selon l’étude, on pourrait empêcher un demi-milliard de naissances, et donc 24 milliards de tonnes de CO2 sur les 40 prochaines années, ainsi qu’une dépense de 200 000 milliards de livres sterling. Tout aussi révélateur est le fait que, selon le magazine Forbes, les « 14 personnes les plus riches du monde », qui ne sont pas les moins étrangères à l’économie de casino que nous subissons aujourd’hui, se sont déjà réunies le 5 mai de cette année chez le président de l’université privée Rockefeller. Pour Bill Gates, Warren Buffett, Michael Bloomberg, George Soros, Peter Petersen, David Rockefeller Jr. et d’autres participants à ce cénacle, la croissance démographique représente assurément la pire menace environnementale, sociale et industrielle de notre époque. Par ailleurs, le 5 juin, se déroulait à la London School of Economics la conférence préparatoire au sommet de Copenhague, organisée par le Policy Network, le think-tank de Tony Blair. Celui-ci, dont la paternité de la guerre en Irak fait aujourd’hui même l’objet d’une enquête en Grande-Bretagne, y a prononcé le discours d’ouverture, soulignant la nécessité d’un « changement révolutionnaire d’attitude ». Pour cela, les Etats-Unis devraient, à eux seuls, réduire leurs émissions à un dixième de leur niveau actuel ! Blair a clairement estimé que le plus gros problème est que la Chine veuille réaliser « la plus grande industrialisation que le monde ait jamais vue ». Lors d’une conférence de trois jours sur le thème de « la grande transformation », organisée à Essen, en Allemagne, par la Fondation Mercator en collaboration avec l’Institut du climat de Potsdam et de Wuppertal, on pouvait lire dans le prospectus présentant le panel du quatrième groupe de travail : « Les sociétés démocratiques peuvent-elles faire face aux effets de profonds changements du climat global, ou des régimes autoritaires seraient-ils plus à même de mettre en oeuvre les mesures nécessaires ? » L’un des participants, Hans-Joachim Schellenhuber, qui dirige l’Institut du climat de Potsdam, y avait récemment invité le prince Charles à une « discussion d’experts sur les thèmes de l’environnement et du climat ». (Schellenhuber est par ailleurs dignitaire de l’ordre britannique le plus prestigieux, l’Ordre de la Jarretière.) On ne peut qu’être d’accord avec Lord Christopher Monckton dans son analyse de l’imposture climatique et de la conférence de Copenhague : il s’agit bien, en effet, d’une tentative d’établir un gouvernement mondial non élu, jouissant de pouvoirs considérables et sans précédent. Pris en flagrant délit de mensonge, un petit groupe de « scientifiques » est désormais reconnu coupable d’un acte frauduleux et criminel. L’ex-ministre des Finances britannique, Lord Nigel Lawson, rejoint par tout un groupe d’autres Lords, auteurs et journalistes, vient de lancer un nouveau site internet, ainsi qu’une Fondation de politique du réchauffement climatique (GWPF), voués à combattre cette imposture. Hélas, il ne fait aucun doute qu’un consensus existe dans le camp pro-britannique de l’Establishment international pour répondre à la crise systémique financière mondiale par un nouveau fascisme, sous lequel les pauvres, faibles et malades seront sacrifiés aux intérêts spéculatifs. Une telle politique tombe sous le coup des Lois de Nuremberg de 1946. Quiconque entend participer à la conférence de Copenhague devrait y réfléchir. Après tout ce que le grand public vient de découvrir, il n’y a qu’une solution raisonnable : annuler au plus vite ce sommet. Appel envoyé par David C. – david.cabas.over-blog.fr

Par David C.
posté le 04 décembre à 20:21
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Citoyen !

Les soi disant scientifiques du GIEC (Groupe d'Experts Intergouvernemental sur l'Evolution du Climat) ont été pris la main dans le sac, depuis des années ils ont manipulé l’opinion mondiale afin de faire croire au réchauffement globale pour faire plier les dirigeants politique devant leur folie idéologique.

Le scandale du Climate Gate sera le scandale qui changera l’histoire !

La fin de l’aventure humaine ?

Les écologistes radicales et les financiers internationaux se sont associés dans une bataille contre le devellopement de l'humanité pour instaurer des politiques d’austérité, des politiques de coupes claires de budgets, de remboursement de la dette avec des taxes soi disant verte, comme sous les régimes les plus noirs de la France (Laval, Pétain)

Pourquoi !

Pour rembourser la dette du système ! Aujourd’hui le système financier international s’effondre, il y a deux choix politiques possibles : soit sauver le système en forçant les gens à payer les dettes accumulé par 30 année de folies libérale, soit sauver les gens c'est-à-dire mettre le système en règlement judicaire, mettre en système en banqueroute organisée !

Le citoyens doit faire un choix soit il se soumets au politique de destruction de l'économie physique de l'empire financier de la City de Londre et de Wall Street soit il se mobilise et prend ses responsabiltés politiques afin de batir un avenir à l'humanité!

Face à ce scandale étalé devant l’opinion international, le citoyen doit se mobiliser pour que la vérité soit fait sur les intentions du GIEC afin de stopper la folie du futur sommet de Copenhague ! Nous devons rapidement nous mobiliser afin que le gouvernement se rassemblement autour d’une nouvelle architecture monétaire et financière juste, un nouveau Bretton Woods !

David C. david.cabas.over-blog.fr