Magazine Santé

H1N1, se faire vacciner ou pas ?

Publié le 04 décembre 2009 par Philippejandrok

f9bdba5a77bfb65dc5abef7c7c6f366a.jpgVous avez certainement entendu parler de ce neurochirurgien américain Russel Blaylock qui préconise de justement éviter toute forme de vaccination contre la grippe A, en expliquant que le problème principal est lié à l’adjuvant, le squalène, qui est déjà présent dans le corps et qui sert – je vous passe les détails techniques – entre autre, à la biosynthèse du cholestérol, des hormones (stéroïdes) et de la vitamine D. On le trouve également dans le foie des requins, d’où il tire son nom, et on l’utilise dans les produits cosmétiques ainsi que dans l’adjonction à certains vaccins, et c’est là que le bas blesse.

Car, si vous avez l’occasion de relire mon article sur l’allergie, vous comprendrez que le corps humain est une extraordinaire usine chimique biologique qui devrait se suffire à lui-même, mais, dès que l’on introduit un corps étranger dans ce corps, il y a action – réaction - conséquences, souvent bénignes mais parfois plus, beaucoup plus graves pour l’organisme.

Ainsi, le fait d’injecter un produit - dans le cas du squalène - déjà présent dans l’organisme va perturber le fonctionnement du cerveau qui ne va pas reconnaître le vrai squalène du faux, il va donc entrer en réaction pour éliminer l’intrus, mais lequel ? Le vrai, le faux ?

Le corps est donc forcé de se battre contre lui-même pour tenter de survivre et de rétablir l’équilibre, mais comme il est leurré et perturbé par la chimie et le squalène d’origine animale, il va être sujet à développer des maladies en réaction comme, la sclérose en plaque – l’arthrite rhumatoïde – le lupus – le syndrome de la guerre du Golf (responsable de la mort de 10 000 soldats – la maladie de Lou Gehrig.

Ces informations sont mises en cause par les laboratoires qui prétendent qu’il s’agit là de fables, pourtant, on ne peut pas nier les rapports de cause à effet entre l’injection du vaccin contre l’hépatite et le développement de la sclérose en plaque dans les milieux médicaux et dans le corps enseignant en France.

Pourtant, dans le vaccin anti-Anthrax injecté aux soldats américains décédés, il n’y avait aucune présence de squalène, mais il était peut-être présent dans d’autres vaccins, car pour ceux qui ont fait leur service militaire, ils se font vacciner, en ignorant pourquoi, avec des produits dont ils ne connaissent pas l’origine et on leur répond lorsqu’ils posent des questions :

- C’est bon pour ce que tu as.

- Mais qu’est-ce que j’ai ?

- J’en sais rien, mais c’est bon !

Et bien, ce bon a tué 10 000 soldats Américains, enfin, cela leur a peut-être épargné une mort plus rapide en sautant sur une mine ou en se faisant tirer dessus, qui sait, lorsque l’heure est venue, qu’importe comment on doit partir, l’heure est là !

Le problème du déclenchement des maladies citées ci-dessus est leur fréquence d’apparition, en effet, ce n’est pas parce que l’on vous a injecté du squalène et que vous n’avez aucune réaction instantanée, que vous n’en aurez pas un jour.

Voici un exemple pour illustrer ce développement. Si vous fumez une cigarette une fois dans votre vie, aurez-vous inévitablement le cancer du poumon ? Je ne crois pas, mais si vous fumez entre 1 et 3 paquets par jour pendant 20 ans, vous aurez beaucoup plus tendance à développer la maladie, parce que la fumée et le goudron investissent progressivement votre palais pour aller se figer dans vos poumons et vos artères.

Dans le cas d'un vaccin, c'est tout à fait différent, il pénètre immédiatement votre chimie organique et entre en contact direct avec votre biologie, il n'attend pas, il agit et s'endort parfois pour se reveiller un jour de façon agressive en forçant le corps à développer des défenses qui se transforment en maladie chronique, on ignore toujours pourquoi, c'est ce qui explique l'attitude des scientifiques qui refusent d'accepter ce constat.

Les maladies sont souvent présentes dans notre corps et sortent à la faveur d’un état de faiblesse, d’une démobilisation du système immunitaire influencé par un état mental. Un choc émotionnel, une rupture amoureuse, une perte d’emploi, une mise à la retraite, mille et un facteur peuvent être les déclencheurs d’une pathologie. Des médecins sont très précis sur le sujet, David Servan-Schreiber en parle fort bien ayant lui-même été victime du cancer.

Le mental joue un rôle fondamental dans le développement de la maladie ainsi que dans la guérison.

Pour les généticiens et les biologistes, il est certain que ce discours de l’influence de l’esprit sur la matière leur échappe, un peu comme la science qui glisse souvent entre leurs doigts pour aller trouver un chemin qu’ils n’avaient pas prévu.

L’homme qui est un surdoué de la nature croit pompeusement en devenir le maître sans penser un seul instant que sa maîtrise pourrait lui échapper et c’est ce qui se produit régulièrement. Par exemple, nous maitrisons l’atome, mais pas complètement, puisque nos centrales nucléaires vieillissantes nous posent aujourd’hui des problèmes que l’on ne parvient pas à résoudre ?

Pour en revenir à notre sujet, il y a pour la vaccination contre la grippe A du pour et du contre et je crois personnellement que si des produits on des effets graves sur certains, ils n'en n'ont aucun sur d'autres, voilà pourquoi personne ne tombe d'accord sur le sujet. C'est du cas par cas et nul ne peut prétendre qu'il n'y a aucun risque, puisque s'il y a doute, il y a risque, mais pas pour tout le monde.

Alors que faire ?

Prendre le risque de développer des maladies invalidantes ou tomber malade une semaine ?

Nous vivons une époque formidable…


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Philippejandrok 11422 partages Voir son profil
Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Magazine