Si on la lit entre les lignes, on comprend que les critères de qualité d'un champagne sont essentiellement dus à son prix, à son lieu de vente (un champagne vendu chez un caviste sera bien meilleur qu'un champagne de hard-discounts). Et qu'un vigneron ou un négociant qui braderait son champagne à vil prix dans des lieux de perversion comme un supermarché, a nécessairement élaboré sa cuvée avec haine et dédain... Un discours en contradiction avec ce qui était écrit dans le dossier publié une semaine plus tôt où le journal expliquait que c'était surtout une question de trésorerie qui poussait certains producteurs à brader leur cuvée d'entrée de gamme, souvent sous une marque périphérique, aux grandes surfaces. Pas facile d'être un quotidien régional...
Article rédigé par : Marie