Gouffre de peur, d’effroi
Abîme de douleur
sans fond le mal
à ciel ouvert
à terre fendre
Au plus fort du carnage
Qui d’autre, jusqu’au cœur
peut le sonder
sinon ce cœur
de chair, de pierre
Nôtre?
(François Cheng)
Gouffre de peur, d’effroi
Abîme de douleur
sans fond le mal
à ciel ouvert
à terre fendre
Au plus fort du carnage
Qui d’autre, jusqu’au cœur
peut le sonder
sinon ce cœur
de chair, de pierre
Nôtre?
(François Cheng)