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Avec Opalis, Microsoft met un doigt dans l’orchestration d’environnements virtuels

Publié le 22 décembre 2009 par Igrec
Il y a un mois, lors de Tech Ed Europe, je faisais remarquer à Brad Anderson, le patron de la division outils d’administration de Microsoft, que la suite d’outils d’administration de la virtualisation de l’éditeur estencore un peu “jeune” par rapport aux outils de concurrents tels Citrix, du fait de l’absence d’outils de lab et de stage management, mais aussi du fait de la légéreté des outils de provisionning et d’automatisation de workflow fournis par l’éditeur. Je pointais notamment du doigt l’absence d’outils de modélisation de workflow et de provisionning de chaines applicatives complexes nécessitant la mise en oeuvre coordonnée de plusieurs VM. Et Brad Anderson de sourire en indiquant que pour nombre de ces aspects, le prochain Microsoft Management Summit (du 19 au 23 avril 2010 à Las Vegas) serait riche d’enseignements.  ”Il y a certainement beaucoup de chose que l’on peu faire pour enrichir encore System Center” m’avait alors indiqué Anderson. Pour ceux, comme moi, qui se demandaient encore sur quelle technologie Microsoft entend bâtir ses futurs outils d’orchestration et de provisionning, la réponse est venue il y a dix jours avec l’annonce du rachat du Canadien Opalis Software . Les logiciels d’Opalis permettent de modéliser les processus IT afin de les automatiser et de les orchestrer (Run Book Automation). Ils permettent aussi de gérer le cycle de vie des machines virtuelles (de leur instanciation à leur destruction, ce qui devrait être particulièrement utile dans les grands environnement ou pour les architectures en nuage). Enfin, ils sont capables de s’interfacer avec les principaux outils de management, de gestion de services et de gestion de workload  du secteur dont ceux de Microsoft (System Center) mais aussi ceux de CA, BMC ou HP. La couche d’automatisation de Workflow d’Opalis devrait sans doute servir à Microsoft à répliquer la stratégie initiée avec System Center Operations Manager (SCOM), à savoir tenter de devenir l’intermédiaire incontournable aux outils parapluie de CA, BMC, IBM et HP pour s’interfacer avec les environnements Windows. Elle permettra aussi à l’éditeur de renforcer ses capacités d’interopérabilité avec des outils tiers.  Notons enfin, que certains pans de l’offre d’Opalis devraient aussi s’interfacer avec le futur outil de service Desk ITIL de Microsoft,  System Center Service Manager, encore en bêta 2 et attendu en principe en version finale pour le printemps 2010.

Il y a un mois, lors de Microsoft Tech Ed Europe, je faisais remarquer à Brad Anderson, le patron de la division outils d’administration de Microsoft, que la suite d’outils d’administration de la virtualisation de l’éditeur estencore un peu “jeune” par rapport aux outils de concurrents tels Citrix, du fait de l’absence d’outils de lab et de stage management, mais aussi du fait de la légéreté des outils de provisionning et d’automatisation de workflow fournis par l’éditeur. Je pointais notamment du doigt l’absence d’outils de modélisation de workflow et de provisionning de chaines applicatives complexes nécessitant la mise en oeuvre coordonnée de plusieurs VM. Et Brad Anderson de sourire en indiquant que pour nombre de ces aspects, le prochain Microsoft Management Summit (du 19 au 23 avril 2010 à Las Vegas) serait riche d’enseignements.  ”Il y a certainement beaucoup de chose que l’on peu faire pour enrichir encore System Center” m’avait alors indiqué Anderson.

Pour ceux, comme moi, qui se demandaient encore sur quelle technologie Microsoft entend bâtir ses futurs outils d’orchestration et de provisionning, la réponse est venue il y a dix jours avec l’annonce du rachat du Canadien Opalis Software. Les logiciels d’Opalis permettent de modéliser les processus IT afin de les automatiser et de les orchestrer (Run Book Automation). Ils permettent aussi de gérer le cycle de vie des machines virtuelles (de leur instanciation à leur destruction, ce qui devrait être particulièrement utile dans les grands environnement ou pour les architectures en nuage). Enfin, ils sont capables de s’interfacer avec les principaux outils de management, de gestion de services et de gestion de workload  du secteur dont ceux de Microsoft (System Center) mais aussi ceux de CA, BMC ou HP.

La couche d’automatisation de Workflow d’Opalis devrait sans doute servir à Microsoft à répliquer la stratégie initiée avec System Center Operations Manager (SCOM), à savoir tenter de devenir l’intermédiaire incontournable aux outils parapluie de CA, BMC, IBM et HP pour s’interfacer avec les environnements Windows. Elle permettra aussi à l’éditeur de renforcer ses capacités d’interopérabilité avec des outils tiers.  Notons enfin, que certains pans de l’offre d’Opalis devraient aussi s’interfacer avec le futur outil de service Desk ITIL de Microsoft,  System Center Service Manager, encore en bêta 2 et attendu en principe en version finale pour le printemps 2010.

Références externes

  1. reference #1
    http://www.lemagit.fr/article/microsoft-gestion-systemes-opalis/4701/1/microsoft-aurait-rachete-opalis-gestion-systemes-pour/

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