Traces que laisse tout destin aimant, nullement
En ligne droite mais en cercles concentriques
Cercles rejoignant d’autres cercles mus par l’amour
Jusqu’à rejoindre l’immense cercle initial
Qui depuis toujours aimante toute, mêlant
Destins brisés et rêves primordiaux
Feuilles tombées ferments d’un printemps autre
(François Cheng)