photo: Cedric Bihr
Je suis allée, lundi dernier, au concert d’Ed Laurie, premier événement de l’histoire où j’étais “invitée” (avec 10 000 autres personnes) en tant que blogueuse. Très joli moment au Café de la Danse, qui a en plus eu le bon goût de finir assez tôt de sorte que j’étais rentrée vers 22h30, ce qui m’a fait des vacances.
En première partie de ce concert : un néerlandais, au nom inconnu (Niels Koontz en phonétique, que je n’ai jamais réussi à retrouver), qui est arrivé à l’arrache de son propre aveu (on l’avait visiblement appelé peu de temps avant le concert). Et le gars est arrivé, tranquille, les cheveux joliment en bataille, en chemise à carreaux à la mode, avec sa guitare, et il devenu tellement beau en chantant ses ballades.
Moins d’une heure plus tard, Ed Laurie faisait son entrée en scène, en parlant un joli français avec un joli accent, lui aussi la guitare à la main.
Entre 2 chansons, il faisait des blagues, racontait des histoires, nous emmenait avec lui dans son univers. Et lui aussi était beau, à nous présenter ses compos et son album. Pour la dernière chanson, il a carrément débrancher sa guitare, s’est assis au bord de la scène, et a chanté, comme ça, comme au coin du feu, comme pour ses potes.
Le Café de la Danse était littéralement bondé, j’étais assise dans les escaliers, et j’ai quand même eu l’impression d’être en train de fredonner un truc entre amis. Une belle émotion et cette question existentielle : les chanteurs sont-ils tous beaux, ou le deviennent-ils en chantant ?
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