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L’oisiveté

Publié le 24 décembre 2009 par Xavier1

A la française

Oisiveté:

Non action, ou action de ne rien faire et par extension mise en danger de la santé mentale et physique,

Perte de la notion du temps:

Extraction de la réalité de façon plus ou moins prolongée, divertissement causé par la télévision, le jeu etc.…

Société primitives:

Rassemblement de population agressive

Absence d’esprit de survie productif:

Dépression nerveuse et ou folie

Absence de spiritualité:

Désœuvrement, violences, conflits

Lorsque l’on est un peu observateur quand on rentre le soir du travail, en banlieue, on constate que l’on fabrique, que la société fabrique de façon consciente ou  inconsciente, des mères porteuses. Non pas pour que les enfants dans les ventres des jeunes banlieusardes aillent dans des familles de riches, cela est interdit depuis au moins 1984, une loi sur la bio éthique (on en parlait déjà en ces temps là) mais ces enfants en gestation sont bien utilisés comme complément de revenus futurs pour les familles: les allocations familiales. D’un côté, c’est tout à fait compréhensible. On survit come on peut. Mais d’un autre, il y a un arrêt butoir: quand les enfants auront atteint la majorité, que vont devenir ces femmes qui n’auront jamais travaillé, si ce n’est que pour élevé leurs enfants (c’est tout de même un travail)? Elles n’auront rien ou presque car les allocations familiales seront coupées. Avoir des enfants pour une femme est très bien, à la seule condition que cela soit un désir profond, et non une obligation. A ce sujet, les femmes devraient s’exprimer davantage.

Le drame de la France est qu’elle encourage l’oisiveté et conduit des femmes peu scolarisées a des situations qu‘elles n‘ont au fond sans doute pas réellement choisies.  de plus, dans les quartier dits populaires, elles sont devenues aussi agressives que des hommes dont-elles singent la façon de parler et de gesticuler les mains, enfin pour une minorité d’entre elles fort heureusement.

L’échec scolaire y est pour beaucoup mais plus encore, nous sommes en droit de nous interroger sur le thème suivant: l’école à t-elle fait le nécessaire pour que ces jeunes filles réussissent professionnellement ou bien cet état de fait est-il le résultat d’une contre éducation: presse, média qui encourage de se faire engrosser sans prendre la précaution d’avoir au moins un revenu convenable et une formation adapté au marché du travail. Sans doute que oui, ainsi que l’environnement négatif relativement primitif du voisinage et familiale.

Cependant, il y a aussi une autre presse qui incite pourtant les femmes à faires des études poussées et à réussir leur vie professionnelle avant leur vie de famille.

Il est incompréhensible que les politiciens au pouvoir ne fassent rien pour venir en aide à ces jeunes femmes, comme si au fond ils se trouvaient  sous les ordres des patrons d’entreprises qui d’une certaine manière commanditaient tout cela, afin d’en faire de ces pauvres gens sans instruction,  des consommateurs dociles qui, même non friqués demeurent toujours des consommateurs. Vu que l’agroalimentaire de  base qui ne coûte rien ou presque, permet même  à un SDF de pouvoir se procurer chaque jour de ces rations de survie vendues chez FLUNCH ou Mac Donald. Nourriture pas cher, très bon goût mais qui sur le plan nutritionnelle laisse à désirer:  protéine de mauvaise qualité, graisses de toutes sortes qui finissent par vieillir et encrasser prématurément l‘organisme.

Concernant le marché du travail,  la France se tiermondise, tandis que le tiers monde  s’embourgeoise. Le plein emploi se généralise de plus en plus dans les pays dits en voie de développement, tout le monde ou presque travail ou commence à travailler, alors qu’en France hélas, question travail, cela se raréfie, et pire encore, celles et ceux qui se retrouvent au chômage se voient reprocher d’être trop qualifiés, comme si cela était une honte. Certes, il ya le chômage des cadres, des hauts cadres et des ouvriers; les manières de réagir face à la situation de non emploi est différente selon le secteur de métier auquel on appartient. Mais il faut reconnaitre qu’en dépit des beaux discours, rien n’est fait depuis le sommet de l’Etat pour réhabilité le travail. Nous sommes davantage dans le divertissement que dans le labeur véritable.

Xavier  Jaffré



VAC  PRESSE

www.xavier-jaffre.info 2004-2009

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