La vie rêvée ! Pour qui en aurait manqué le début - on ne sait jamais ! -, voici donc, ici, et là, et dans le bon ordre, s’il vous plait, les 182 premiers fragments de ce qui n’est pas encore un roman (n’exagérons rien…) mais nous entraine, tout de même, sur des chemins inattendus. Car c’est un work in progress, auquel – et c’est un exercice cruel - je me fais un devoir, à ce stade, de ne pas toucher (à l’exception de quelques fautes d’orthographes, tout de même, qu’il m’est difficile de ne pas corriger). Pour le reste, rien n’est écrit de cette étrange histoire dont, comme beaucoup, j’ignore encore l’issue, bien qu’en vérité, vous vous en doutez, il ne soit guère difficile de la deviner. Mais certains personnages, et non des moindres, pourraient, à l’avenir, profiter d’une brève hésitation de ma part pour orienter, alors, très différemment le récit et tirer, ainsi, leur épingle du jeu. Le risque est réel de devoir, bientôt, nous acclimater à d’autres mondes que ceux dont nous avons rêvé l’horizon. Voilà qui promet, n’est ce pas ? Quant à la forme, cette terrible contrainte des 140 lettres, et pas une de plus, imposée par Twitter, est une torture permanente. Les phrases en perdent leur élan. Les mots se bousculent, se serrent à la va vite. C’est une horreur. Ou bien un jeu. C’est selon. Voilà, vous savez tout…