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Le temps du premier bilan scolaire…

Publié le 29 décembre 2009 par Dominique Foucart

Après les examens de Noël, un premier bilanLes étudiants du secondaire ont terminé leur premier trimestre de cours, avec à la clé les résultats, parfois heureux, parfois moins d’une première session d’examen. Les étudiants du cycle supérieur sont confrontés à la première session de l’année. Celle qui suit parfois une période d’adaptation difficile à de nouveaux modes d’apprentissages.

Ce temps des premiers bilans pour les uns, et des premières angoisses pour les autres, peut devenir un temps de lutte et de cauchemar, ou un temps de réflexion et de prise en charge.

Comment réagir en tant que parent face à la déception de résultats insatisfaisants ? Comment trouver un nouveau rythme de travail et profiter des leçons du premier trimestre pour réussir la fin de l’année ? Faut-il se réorienter ? Comment traiter la révolte d’adolescents face à leurs “devoirs” ?

Une première remarque importante est de bien identifier qui est demandeur de quoi: nous rencontrons chez interactes des parents qui ont des attentes qui ne rejoignent absolument pas celles de leurs enfants. C’est un premier point qui doit absolument être traité: il faut au moins que l’adolescent comprenne ce que sont les attentes de ses parents, qu’il puisse exprimer les siennes et qu’un consensus se dégage sur les objectifs à atteindre. Pour faire cela, il est important de prendre en considération les besoins des uns et des autres. Une fois ces besoins bien définis, on pourra étudier comment chacun peut aider l’autre à leur trouver une réponse acceptable. Parfois, il est possible de réaliser ce travail dans un dialogue direct, parfois c’est plus difficile et l’aide d’un médiateur peut être utile.

Parfois, le désir de réussir, la quantité de travail à effectuer, l’organisation de la vie familiale deviennent des facteurs d’angoisse pour le jeune qui n’arrive alors plus à se concentrer sur son travail, ou qui développe d’autres troubles inquiétants pour les parents (rituels et manies, drogues et alcool, crises d’angoisse, phobie scolaire,…). Souvent, les parents essaieront d’aider leur jeune à résoudre ces problèmes en leur prodiguant des conseils issus de leur expérience personnelle. Mais ce qui marche pour soi ne fonctionne pas toujours pour les autres. Ici aussi, il faut parfois se faire aider pour atteindre ses objectifs.

Une intervention en aide scolaire ne doit pas être longue ou lourde. L’approche stratégique de Palo-Alto répond particulièrement bien à une telle intervention pour plusieurs raisons: elle est centrée sur la recherche d’une solution en se basant sur les interactions qui ne fonctionnent pas; il n’y a donc pas de lourde investigation du passé, mais une analyse concrète du présent. Une autre bonne raison de recourir à l’approche stratégique est que le thérapeute pourra travailler tout aussi bien avec les parents qu’avec le jeune concerné. C’est la personne qui est désireuse du changement qui va le provoquer, avec l’aide de notre intervenant.

Depuis plus de 60 ans, la thérapie stratégique aide les personnes en difficultés relationnelles à trouver l’apaisement et la solution à leur problème. Le cabinet interactes est spécialisé dans ce type d’intervention.


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