Lilidub.
Lilicub, Lilidub, Lililipdub....depuis son Voyage en Italie, elle a mûri avec sa p'tite voix qui poétise, magnétise, enfantise, gourmandise, exquise. Depuis qu'on s'est envolés dans ta p'tite fusée
comme des tintinolâtres enfantasques, enfantasmagoriques, dévoreurs de ciels étoilés. Mélodie sucrée, tu sais les tisser come ça. Histoire de. Histoires d'eux. D'eux et de nous. De nous à moi.
Et voilà qu'on dodeline de la tête et qu'on mâchouille ces p'tites bulles poétiques, vignettes de ritournelles. Chapi, chapo. C'est la faute à laliflo, tout ça. Oui Oui ! Pas la mienne (enfin...si
on peut parler de faute !). J'ai fait "clap clap" à cette vidéo sur FB (le lieu de rencontre des agoraphobes que nous sommes tous devenus) et puis j'ai dit que j'allais tenir une petite jactance
sur ce clip. Et quand je me suis retrouvé devant mon clavier, je ne savais pas quoi écrire, comme d'hab. C'est ça vieillir, c'est avoir de plus en plus de mal à écrire. Donc, j'écris. Vous avez
compris ? (Je vais même vous dire que des fois je pleure en écrivant, de joie bien sûr...)
Voix d'enfant qui babille ses jeux de mots comme des p'ties bulles qui pétillent dans le cerveau. Ah ! Mon vieux cerveau si jeune qui avait tant besoin de cette jouvence pour enfin vieillir. Il
était tout sombre, dans son jeunisme attardé, mon cerveau, entouré de tout plein de nuages orageux qui le faisaient se débattre dans des fantasmes faussement adolescents. On se construit une fausse
jeunesse, à un certain âge. Vous me comprenez ?
Ne raillez pas (comme je déraille) vous finirez bien, vous aussi, par vieillir, monter dans cette fusée de Tintin, glaner quelques étoiles en chemin avant de disparaître : plop !
Merci laliflo :-)