
L’on n’observe guère d’empressement à retenir les leçons de la dégradation des droits de l’homme qui a suivi la « guerre contre la terreur » conduite par les Etats-Unis au lendemain de septembre 2001. Alors que s’accumulent les révélations de plus en plus choquantes et détaillées sur la torture systématique, les détentions secrètes et d’autres violations graves des droits de l’homme, les instances politiques semblent réticentes à tirer les conclusions qui s’imposent. Il est urgent d’améliorer le contrôle démocratique des services de renseignement et de sécurité et de réglementer la coopération internationale entre ces services.Lire la suite sur www.coe.int
