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L'islam impose ses exigences en France dans tous les domaines , entreprises , hôpitaux , écoles , citées ... etc .

Publié le 16 décembre 2009 par Revolution44

Islam : de nouvelles revendications en entreprise
 
15/12/2009
L'islam impose ses exigences en France dans tous les domaines , entreprises , hôpitaux , écoles , citées ... etc .
À l'hôpital,on compte quatre à cinq incidents par semainedans les services d'obstétrique car les maris de femmes voilées ne veulent pas qu'elles soient vues par un médecin homme.

De nouvelles exigences religieuses en entreprise et dans les hôpitaux irritent ou inquiètent.

Au gré des auditions, les députés ont découvert de nouvelles exigences religieuses ou communautaristes. Consultant en ressources humaines, notamment pour des sociétés du CAC 40, Carl Pincemin a raconté comment des salariés ayant obtenu des menus confessionnels, refusent désormais que «la viande halal soit proposée à côté de plats contenant de la viande “normale” jugée impure». En clair, ils désirent des cantines séparées et ne veulent plus «s'asseoir à côté de personnes qui mangent du porc !», tempête Jacques Myard, député UMP de la mission. D'autres ont constitué l'équivalent d'un «syndicat confessionnel». Ils réclament la reconnaissance de jours fériés musulmans, demandent des lieux de culte dans l'entreprise et prétendent que les femmes de service chargées de servir les plats à la cantine doivent se présenter «les bras couverts».

 «Des pratiques intolérables»

 Ces revendications, de la plus simple aux plus extravagantes posées au nom de l'islam, embarrassent les responsables des entreprises. «Ils perdent leur bon sens», estime l'anthropologue Dounia Bouzar, auteur d'un livre intitulé Allah a-t-il sa place dans l'entreprise ?  (Albin Michel, 2009). «Certains craignent d'être traités d'islamophobes s'ils refusent. Et cèdent à des pratiques intolérables.» Jusqu'à accepter que des salariés ne passent plus l'entretien d'évaluation avec leur chef de service si c'est une femme. Tandis que d'autres, à l'inverse, «répriment toute manifestation de foi, même si elle ne perturbe pas le bon fonctionnement du service». Pour Cathy Kopp, l'ex-DRH d'Accor chargée de mission au Medef, «l'entreprise est demandeuse de règles plus claires en matière de revendications religieuses».

L'hôpital aussi, si l'on en croit André Gerin (PCF), le président de la mission parlementaire sur le voile intégral. Les députés ont visité à Lyon la maternité Mère-Enfant. «Le personnel se sent abandonné.» On compte «quatre à cinq incidents par semaine» dans les services d'obstétrique, affirme André Gerin. «Un homme sage-femme appelé à la rescousse lors d'un accouchement difficile s'est fait casser la gueule en octobre par un mari», a raconté le responsable hospitalier. Les pompiers ont dû le réanimer pour qu'il achève l'accouchement. Un traumatisme pour tout le service, qui «n'en peut plus» de devoir slalomer entre les exigences religieuses et déminer l'agressivité de certains. «Les maris insistent pour que leurs femmes soient vues par des médecins femmes. Beaucoup refusent une anesthésie par crainte qu'un homme apparaisse», a relaté le personnel. Comme en 2004, lorsque pour la première fois, plusieurs chefs de service d'obstétrique avaient dénoncé ces pressions devant la commission Stasi. Depuis, une charte rappelle qu'on ne peut choisir son médecin dans le service public. «Mais les personnels restent seuls à gérer les conflits», regrette André Gérin.

Sur le terrain, les maires de banlieue réunis dans l'association Ville et Banlieue s'inquiètent d'une montée en puissance des exigences religieuses. Après les repas sans porc à l'école, les requêtes portent sur des menus sans viande ou halal. Tandis que la demande pour des créneaux horaires réservés aux femmes s'accroît dans les piscines et les gymnases.
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Les députés UMP veulent interdire totalement la burqa
 
16/12/2009 
L'islam impose ses exigences en France dans tous les domaines , entreprises , hôpitaux , écoles , citées ... etc .

 

L'épilogue est proche. Les trois ministres qui s'expriment ce mercredi dans l'après-midi devant la mission parlementaire sur le voile intégral devraient appuyer une loi pour proscrire la burqa des services publics. À l'issue de plusieurs réunions, les ministres se sont rangés derrière la formule de Xavier Darcos, «la République à visage découvert». Une ligne «prudente» qui limite l'interdiction aux mairies, préfectures, bureaux de poste, à la Sécurité sociale... Sans statuer sur l'université, ni sur les transports. Elle n'intervient pas sur le port de la burqa dans la rue, objet de controverses juridiques intenses. «Une interdiction globale serait difficile à défendre devant la Cour européenne des droits de l'homme», avance un conseiller. Seul Éric Besson, le ministre de l'Immigration, semble encore décidé à bannir totalement ce vêtement, au nom de la dignité de la femme.

Symboliquement, les ministres souhaiteraient que le voile intégral soit désormais un obstacle à la naturalisation. Pour celle qui le revêt comme pour son époux. Car elle «manifeste un défaut d'assimilation aux valeurs françaises». Le gouvernement entend généraliser une jurisprudence établie par le Conseil d'État en 2008. Les Sages avaient estimé qu'une femme marocaine, mariée à un Français et portant le voile intégral, avait «adopté une pratique radicale de sa religion, incompatible avec les valeurs essentielles de la communauté française, et notamment avec le principe d'égalité des sexes».

C'est au nom de ces valeurs que les députés du groupe UMP proposent, eux, une interdiction totale du voile intégral dans l'espace public. «La réalité, c'est que personne en France ne souhaite raisonnablement que cette pratique s'installe sur notre territoire. Les représentants des musulmans de France ont une position très claire, qui rejoint celle de la très grande majorité de nos concitoyens, pour qui le port de la burqa n'est pas compatible avec la vie en société, avec les valeurs de la République», explique Jean-François Copé .

Interdiction dans les services publics et dans la rue

Le groupe va donc plaider pour bannir la burqa des services publics et bâtiments accueillant du public, mais également de la rue. «Car la visibilité du visage est une des conditions du vivre ensemble», tranche François Baroin, qui copréside la mission burqa formée au sein du groupe UMP. Hors période de carnaval, «chacun doit aller à visage découvert». Autrement, une infraction sera commise, passible d'une amende allant de 1.500 euros à 3.000 euros en cas de récidive.

Pour l'instant, le groupe entend «apporter sa contribution» à la mission parlementaire, qui termine ses auditions aujourd'hui. Mais les députés UMP sont prêts, quoi qu'il arrive, à déposer une proposition de loi pour bannir le voile intégral de l'espace public, au nom de la sécurité et de la dignité de la personne.

Dès jeudi, ils organisent un colloque sur le voile intégral, dans une campagne de communication qui n'a pas échappé aux trente-deux députés de la mission parlementaire.

Censés rendre leurs conclusions fin janvier, ils se voient contraints d'annoncer des pistes dès à présent. Le président de cette mission, le communiste André Gerin, souhaiterait lui aussi une «grande loi» pour interdire de circuler masqué en France, telle que l'a suggéré le professeur de droit Guy Carcassonne lors de son audition. «Il ne s'agit pas de stigmatiser ces femmes. Mais de faire reculer une idéologie moyenâgeuse.» André Gerin espère déposer une proposition de loi soutenue par la mission mais se méfie du «contexte politique, avec la tenue prochaine des élections régionales». Les socialistes pourraient être gênés. Le député PS Jean Glavany, ardent partisan d'une interdiction du voile intégral, pourrait se heurter à une consigne de parti. Martine Aubry semblait préférer «la prévention» à la loi. Tout comme François Hollande, récemment interrogé.

Pour asseoir son projet de texte, la mission va revoir les maires de l'association Ville et banlieue, concernés au premier chef. Ainsi que les responsables du Conseil français du culte musulman. Les députés espèrent obtenir leur clair soutien. «Car une minorité extrémiste fait du tort à tous les musulmans.»

En attendant cet improbable consensus, la mission va suggérer d'autres voies d'action. Elle propose une résolution, sorte de déclaration d'intention du Parlement. Celle-ci permettrait d'exprimer l'importance de l'égalité homme-femme et «la lutte contre la barbarie et les idéologies rétrogrades», explique André Gerin. Enfin, si la loi d'interdiction générale venait à être écartée, la mission demanderait à chaque ministère d'interdire formellement, par circulaire, le voile intégral à l'hôpital, à l'université, mais aussi dans les préfectures et tous les services publics et lieux accueillant du public, au nom du respect d'autrui.

Six mois après le lancement de ce débat passionnel, le principe d'une loi semble acquis. Ses contours en revanche restent à déterminer, entre contraintes juridiques et difficultés d'application. Les sceptiques restent d'ailleurs nombreux. Au sein de la mission parlementaire, l'UMP Pierre Cardo craint «un texte inutile qui va nourrir les provocations». Tandis qu'André Gerin martèle : «Nous ne pouvons admettre que des territoires vivent sous la loi de la charia.»
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Burqa : les représentants de l'islam hostiles à une loi  
 

L'islam impose ses exigences en France dans tous les domaines , entreprises , hôpitaux , écoles , citées ... etc .

Les représentants du Conseil français du culte musulman (CFCM) ne veulent pas de loi interdisant la burqa. Avec des arguments désormais rodés, Mohammed Moussaoui, le président, a rappelé mercredi que ce voile intégral « n'était pas une prescription du Coran» . Pour autant, s'acharner à le combattre présenterait un risque de «stigmatisation» . «Cela pourrait faire naître un sentiment d'injustice, même parmi les musulmans hostiles au voile intégral» .

André Gerin, le député communiste et président de la mission avait pourtant espéré que les «musulmans modérés» condamneraient sans ambiguïté ce voile «qui transforme les femmes en fantôme». «Beaucoup se révoltent contre cette tenue qui avilie les femmes» , assure-t-il.

Mais à l'heure d'interdire, les laïques sont inaudibles et les organisations musulmanes serrent les rangs. Au nom des «injustices» dont souffrent les familles musulmanes, beaucoup, comme le CFCM rejettent une mesure «démagogique» , qui ne s'attaquerait pas aux causes de l'islamisme.

Le port du voile intégral doit être contenu par «le dialogue et la concertation» a plaidé Mohammed Moussaoui. Seul Dalil Boubakeur, le recteur de la Mosquée de Paris fait entendre une autre voix. «La burqa est marginale. Mais elle signe la montée en puissance des fondamentalistes.»

Des débats enflamment toute l'Europe. La Belgique, qui a vu la burqa s'installer dans des quartiers de Bruxelles, l'Italie, le Danemark ou encore les Pays-Bas cherchent comment la proscrire de l'espace public. La base juridique reste étroite, selon les juristes entendus par la mission d'information. Tous se sont montrés réticents à une interdiction générale, comme le professeur de droit public Denys de Béchillon qui était reçu mercredi. En revanche, il serait possible de bannir les couvre-chefs rendant l'identification impossible dans des lieux qui nécessitent des mesures de sécurité particulières. Ce subterfuge perturbe cependant les débats, car les partisans d'une loi voudraient l'interdire au nom du droit des femmes ou encore de la lutte contre l'islamisme et ne se satisfont pas d'un argumentaire plus «technique».

 «Le niqab n'est qu'une tradition»

La problématique pourrait cependant évoluer tandis que le monde musulman s'empare du sujet. En Égypte, le ministre de l'Enseignement, Yousri al-Gamal, a décidé cette semaine de faire appliquer une directive datant de 1995 et interdisant le port du niqab, voile intégral ne laissant apercevoir que les yeux, dans les lycées. La montée du port du niqab inquiète les autorités égyptiennes et certains responsables religieux, qui y voient un signe de progrès de l'islam fondamentaliste, dans un pays déjà très conservateur dans ce domaine.

La semaine dernière, l'imam de la prestigieuse mosquée cairote d'Al-Azhar, Mohammed Sayyed Tantaoui, avait ordonné à une collégienne d'ôter son niqab. «Le niqab n'est qu'une tradition» qui n'a «pas de lien avec la religion», aurait-il avancé, déclenchant un tollé parmi les Frères musulmans, le principal groupe d'opposition, qui réclame sa démission.

Autre changement : des voix musulmanes s'élèvent de pays multiculturalistes, comme le Canada, pour réclamer une interdiction. L'organisation progressiste, le Congrès musulman canadien en appelle à l'État pour interdire cette «tenue islamique qui marginalise les femmes» , selon sa porte-parole Farzana Hassan. «Le Coran invite les musulmans à la modestie (…) Cela n'implique pas que vous deviez vous voiler la face ou porter sur vous une sorte de tente.»

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09/09/2009
Un mannequin présente un modèle de burkini en Turquie. Ces tenues de bain islamiques ont fait leur apparition un peu partout en Europe.

Un mannequin présente un modèle de burkini .
Ces tenues de bain islamiques ont fait leur apparition un peu partout en Europe.
 
Commentaire de FRANCE REVOLUTION
Je tiens juste a faire remarquer qu'en France on nous interdit de porter le short ou le bermuda a la piscine , seul le maillot de bain est autorisé , ma question est .... pourquoi autorise ton que les musulmanes soient habillés des pieds a la tête ... !!! 
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L'islam impose ses exigences en France dans tous les domaines , entreprises , hôpitaux , écoles , citées ... etc .


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Par Max Lamenace
posté le 11 mai à 08:28

Ce document montre bien a quel point la France est peuplé de gens intolérants envers les autres cultures...Honte a ceux qui utilisent nos emblèmes nationaux afin de bafouer les valeurs d'ouverture, de respect et d'humilité que nos ancêtres ont combattu avec leur sang....Faudrait peu être pas l'oublier d'une part, et peut être aussi le Respecter, d'autre part....