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Réchauffement climatique : premières brèves de 2010

Publié le 05 janvier 2010 par Objectifliberte

Une dernière Salve de brèves dédiées au Réchauffement climatique, et je laisse le sujet de côté pendant au moins une semaine sauf rebondissement immanquable.

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Taxe carbone et conseil constitutionnel - Il y a ceux qui sont surpris par la décision du conseil constitutionnel de censurer la Taxe Carbone, et il y a les autres.


JM bélouve (dont le livre "La servitude climatique" est enfin en vente sur Amazon, soit dit en passant) avait dès le 14 octobre laissé entendre dans cet article pour l'institut Turgot que Le conseil constitutionnel pourrait trouver à redire au texte de la taxe Carbone. Cette brillante intuition se révèle amplement confirmée. L'auteur nous livre dans ce texte paru sur le site de l'Institut Hayek ses échanges avec Maître Jean-Philippe Feldman, avocat spécialiste de fiscalité et de constitution, ce qui tombe très bien, au lendemain du vote du texte. Petit extrait:
Cela répondait à l’hypothèse que j’avais faite, dans mon article d’octobre, de deux entreprises concurrentes de taille différentes, deux cimenteries par exemple. La première mettait en œuvre une installation de puissance installée 15 mégawatts. Elle était assujettie à la taxe carbone. L’autre, dont l’unité industrielle dépassait 20 mégawatts, était soumise à quota, attribué gratuitement. Elle n’avait de frais à faire que si ses émissions de CO2 dépassaient le quota attribué, et ne payait sur le marché des permis d’émissions ETS que les certificats correspondant au nombre de tonnes de dépassement. Dans la basse conjoncture actuelle, elle ne payait rien, et cette situation doit se prolonger jusqu’en fin 2012. L’inégalité devant l’impôt me paraissait flagrante, et résultante d’un système bizarre faisant coexister deux régimes fondamentalement différents pour régler le même problème dans des entreprises ayant la même activité.
Le conseil constitutionnel, dans ses attendus, reprend en substance les arguments soulevés par nos deux auteurs libéraux. MM. Fillon et Sarkozy auraient dû être mieux conseillés. Je leur suggère d'embaucher MM. Bélouve et Feldman.
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Encore une énorme "cagade" du GIEC - Ca devient dangeureusement habituel : Le Giec, qui prétend représenter la crème de milliers de scientifiques mondiaux, qui est censé ne publier que du travail "relu  par les pairs", ne rejeter que les travaux les plus médiocres, et confier ses rapports qu'à des sommités scientifiques à l'honnêteté et la rigueur prouvées, vient de laisser passer une bourde monumentale au sujet des glaciers himalayens, que Jean Martin nous traduit en Français avec son bagout habituel:
Extrait du rapport du GIEC 2007, Groupe de travail N°2, Chapitre 10, page 493 :


"Les glaciers de l'Himalaya sont en recul plus rapide que dans n'importe quelle autre partie du monde (voir Table 10.9) et, si le taux [NDT : de fonte] continue à son rythme actuel, la probabilité qu'ils disparaissent en 2035 et peut-être plus tôt, est très grande si la Terre continue à se réchauffer au rythme actuel. Sa surface totale passera probablement de 500.000 km2 à 100.000 km2 en l'an 2035 (WWF, 2005)."

De prime abord, il est surprenant de constater que la seule source revendiquée par le GIEC pour étayer cette "information" particulièrement inquiétante, soit un article du WWF, le World Wildlife Fund, alors que tout le monde sait que cette organisation publie régulièrement des articles catastrophistes évidemment non revus (peer-reviewed) par les scientifiques. Sans aucun doute, cette source a échappé au processus du peer-review dont Rajendra Pachauri, le Président du GIEC, nous répète pourtant urbi et orbi, que le peer-review est incontournable pour pouvoir figurer dans les rapports du GIEC...

Deux professeurs d'Université , John Nielsen-Gammon (Professeur à l'Université du Texas et Climatologue de l'Etat du Texas) et J. Graham Cogley, glaciologue au Département de Géographie de l'Université de Trent dans l'Ontario (Canada) ont mené deux enquêtes approfondies dans le but de comprendre comment de telles affirmations, émanant du WWF, ont pu se retrouver dans le rapport scientifique du GIEC de 2007.
Les résultats de ces deux enquêtes et des réactions suivantes nous en apprennent beaucoup sur le "sérieux" des rapports du GIEC qui sont pourtant censés rassembler l'essentiel des données scientifiques avérées sur le climat et servir de base à l'élaboration d'une politique mondiale contraignante.

A partir de la source du document du WWF (2005) cité, le Professeur Cogley a remonté la piste jusqu'au seul document ( non revu par les pairs) qui évoque la question et dans lequel on retrouve d'ailleurs la phraséologie utilisée dans le rapport AR4 du GIEC... à un gros détail près comme nous allons le voir. Il s'agit d'un document de travail pour l'UNESCO édité en 1996. (Kotlyakov, V.M., 1996, The future of glaciers under the expected climate warming, 61-66, in Kotlyakov, V.M., ed., 1996, Variations of Snow and Ice in the Past and at Present on a Global and Regional Scale, Technical Documents in Hydrology, 1. UNESCO, Paris (IHP-IV Project H-4.1).

Voici la phrase de Kotlyakov que l'on trouve à la page 66 de ce document :

"The extrapolar glaciation of the Earth will be decaying at rapid, catastrophic rates - its total area will shrink from 500,000 to 100,000 square kilometres by the year 2350.".

Soit, en français : La glaciation extrapolaire (NDT : C'est à dire de tous les glaciers hors des pôles) décroîtra à des vitesses rapides, catastrophiques - sa surface totale se rétrécira de 500.000 à 100.000 kilomètres carrés aux environs de l'année 2350."

A rapprocher de la phrase cruciale du rapport scientifique du GIEC de 2007 (AR4, WGII, page 493)

Its total area will likely shrink from the present 500,000 to 100,000 km2 by the year 2035"
"Sa surface totale se rétrécira probablement de 500.000 à 100.000 km2 aux environs de l'année 2035 "

Outre la substitution des dates 2350 par 2035 qui laisse rêveur, il faut noter que le rapport Kotlyakov concernait les 500.000 km2 de tous les glaciers de la planète (hors les pôles) et que ce même chiffre ne peut, en aucun cas, s'appliquer aux glaciers Himalayens seuls. Il y a donc, au moins, deux erreurs dans le rapport du GIEC.

Le Professeur Cogley en déduit qu'il s'agit probablement d'une grossière "erreur" de transcription ( 2035 au lieu de 2350 !) due à un ou à plusieurs des 10 auteurs du rapport du GIEC en question. Il fait remarquer qu'il est quand même très difficile d'imaginer qu'une telle énormité ait réussi à passer les filtres de la révision systématique (...) Nous verrons plus loin que malgré les objections, ce texte avait bien réussi à passer tous les filtres, en parfaite connaissance de cause.

(...)

Bref, non seulement le papier de base ne valait pas grand chose, mais sa transcription par le GIEC a franchement agravé les dégâts. Mais le GIEC a-t-il commis une simple erreur qui n'avait été révélée par personne. Que Nenni. Des Scientifiques Indiens et Népalais, et même le ministre de l'environnement de l'Inde, l'avaient interpelé, en arguant de travaux de scientifiques locaux qui ne partageaient pas du tout les mêmes conclusions... Pourtant, son président a balayé les objections en termes insultants:

Comme de bien entendu, Rajendra Pachauri, le CEO du GIEC, a été rudement interpelé au sujet du texte ultra-alarmiste sur l'Himalaya publié dans le rapport scientifique AR4 du GIEC, sans aucun support scientifique, contrairement à ses exigences répétées. Ses réponses sont intéressantes. En voici quelques-unes à propos du rapport indépendant commandé par le Ministre Indien de l'Environnement : 

"Nous avons une idée très claire de ce qu'il se passe (NDT : Sans support scientifique ?). Je ne sais pas pourquoi le ministre soutient cette recherche infondée. C'est une affirmation extrêmement arrogante."


Par ailleurs, R. Pachauri a qualifié l'étude du Dr Raina de "science Vaudou" en ajoutant que "le GIEC est un organisme sérieux dont le travail est vérifié par les gouvernements". En tout cas, et pour le moins, le gouvernement Indien ne semble pas enthousiasmé...

Ceci étant, l'ingénieur diplômé des chemins de fer et Docteur en économie, co-titulaire du Prix Nobel de la Paix (avec Al Gore et le GIEC), président du GIEC, R. K. Pachauri a, tout de même, une curieuse façon de s'exprimer pour un "grand scientifique climatologue" (comme disent les médias). Voilà qu'il qualifie une étude effectuée par un expert glaciologue vétéran, d'arrogante ou de science Vaudou,(...)

Lisez toute l'histoire chez Jean Martin. Et revenez nous dire ce que vous pensez de la qualité de la sélection des travaux du GIEC !
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Que vaut le Consensus du GIEC ? - Vous me direz que cette énorme bourde n'est qu'une toute petite erreur sans importance, comme il peut en être commises sur une telle masse de travail produite par le GIEC. 

Les réchauffistes en reviennent toujours à l'argument: "Le GIEC, c'est un consensus de 2000, non plutôt 4000 scientifiques ! peuvent-ils être tous mauvais ou pire, malhonnêtes ?"

D'une part le Climate Gate a révélé des brèches béantes dans le consensus même au sein de la "Climate Gate Team" (oui, je sais, ça fait CGT. Oui, je l'ai fait exprès), que la fine équipe faisait taire dès qu'elle entrait dans le domaine public, et les travaux de la fine équipe en question ont servi de base à de très nombreuses études de confrères dont on peut se demander pour certaines d'entre elles ce qu'elles valent vraiment de ce seul fait.
D'autre part, le Science and Public Policy Institute a analysé la valeur du "consensus". J'en résume quelques grandes lignes ci après.
Le GIEC n'est pas en lui même un organisme de recherche mais une institution sous l'égide de l'ONU qui aide au financement et compile les résultats de recherche parus dans des revues scientifiques jugées sérieuses. Les récents échanges de mels entre M. Jones et ses collègues semblent montrer que le caractère "sérieux" d'une revue s'évaluait, du point de vue de certains "lead authors" du GIEC, autant sur des questions politiques que scientifiques.
Les rapports du GIEC (les rapports techniques et le résumé à destination des décideurs) sont donc le produit d'une aggrégation de travaux conduits par différents chercheurs dans le cadre normal de leurs laboratoires.
Il est à noter qu'un certain nombre d'experts participants aux travaux du GIEC sont appointés par leurs gouvernements, mais qu'ils peuvent, une fois appointés, inviter d'autres experts à rejoindre leurs travaux, et ainsi de suite. Sans doute certains gouvernements restent-ils neutres quant à la désignation de leurs experts, mais on ne peut exclure que d'autres introduisent, comme disent les scientifiques, un "biais de sélection".

Le climat est un sujet très vaste. Et le GIEC ne s'en tient pas au climat mais à ses effets sur plusieurs autres ensembles (écosystèmes, mers, etc...) et sur les moyens de lutter contre le réchauffement. Bref, aucun scientifique ne peut prétendre maîtriser toute la science sur le sujet.


Le GIEC reconnaît parfaitement la disctinction entre champs disciplinaires puisque le rapport technique est en fait constitué de trois parties distinctes: "les bases scientifiques du climat" (Working Group I), "Vulnérabilités et adaptation aux changements du climat" (WG 2), et "moyens d'action contre le changement climatique" (WG3).
Nous pouvons donc observer que le rapport WG1 est tout à fait crucial dans la théorie du GIEC. C'est dans ce rapport qu'il est affirmé que l'activité humaine est principale responsable du réchauffement. Si ce rapport dressait des conclusions différentes, le rapport WG2 et WG3 n'auraient pas lieu d'être.
Ce rapport est il vraiment le fruit du consensus de "milliers d'experts", comme l'implique la communication du GIEC ? Selon l'analyse du SPPI (complète ici, court résumé au §7 ici)


The analysis of the WG I report for the 4AR revealed that:

(a) A total of just 308 reviewers (including reviewers acting on behalf of governments) examined the 11 chapters of the WGI I report

(b) An average of 67 reviewers examined each chapter of this report with no chapter being examined by more than 100 reviewers and one by as few as 34.

(c) 69% of reviewers commented on less than 3 chapters of the 11-chapter report. (46% of reviewers commented on just one chapter and 23% on two chapters, thus accounting for more than two-thirds of all reviewers.)

(d) Just 5 reviewers examined all 11 chapters and two of these were recorded as "Govt of (country)", which may represent a team of reviewers rather than individuals

(e) Every chapter had review comments from a subset of the designated authors for the chapter, which suggests that the authoring process may not have been diligent and inclusive

Chapter 9 was the key chapter because it attributed a change in climate to human activity but:

(a) Just 62 individuals or government appointed reviewers commented on this chapter

(b) A large number of reviewers had a vested interest in the content of this chapter

- 7 reviewers were "contributing editors" of the same chapter

- 3 were overall editors of the Working Group I report - 26 were authors or co-authors of papers cited in the final draft

- 8 reviewers were noted as "Govt of ..." indicating one or more reviewers who were appointed by those governments (and sometimes the same comments appear under individual names as well as for the government in question)

- Only 25 individual reviewers appeared to have no vested interest in this chapter

(c) The number of comments from each reviewer varied greatly

- 27 reviewers made just 1 or 2 comments but those making more than 2 comments often drew attention to typographical errors, grammatical errors, mistakes in citing certain papers or inconsistencies with other chapters, so how thorough were these reviews with very few comments?

- only 18 reviewers made more than 10 comments on the entire 122-page second order draft report (98 pages of text, 24 of figures) and 9 of those 18 had a vested interest

(d) Just four reviewers, including one government appointed team or individual, explicitly endorsed the entire chapter in its draft form - not thousands of scientists, but FOUR!

The claim that the IPCC’s 4th Assessment Report carries the imprimatur of having been reviewed by thousands, or even hundreds, of expert and independent scientists is incorrect, and even risible. In actuality, the report represents the view of small and self-selected science coteries that formed the lead authoring teams.

La lecture du rapport complet est un peu rébarbative mais révèle de nombreux autres biais du processus de sélection des papiers et de relecture des travaux du GIEC. Il apparait que de nombreux commentaires remettant en doute certains passages du rapport sont purement et simplement rejetés pour des raisons peu claires, et que globalement, le processus de peer review au sein du GIEC est de qualité très médiocre.

Bref, le consensus avec lequel l'on nous rebat les oreilles n'est qu'une mystification du GIEC, une de plus.

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Stations trafiquées, un point d'étape - Je vous ai déjà évoqué en diverses occasions que les révélations des données brutes de certaines stations météorologiques posaient des questions à ce jour non résolues sur les méthodes d'ajustement employées des données brutes.
Tout d'abord, rappelons qu'il n'est pas anormal d'ajuster des données lorsque les conditions de la mesure changent, pour maintenir l'intégrité d'un référentiel. Ce n'est donc pas l'emploi de données ajustées qui est condamnable par principe, mais l'emploi de méthodes au mieux mal documentées, au pire délibérément biaisées.
A ce jour, des cas ont été repérées en Nouvelle Zélande (ajustements incompréhensibles), en Australie (idem), et plus récemment en Russie (données "dérangeantes" sciemment oubliées par le GIEC), d'où un biais de sélection augmentant artificiellement la tendance au réchauffement de 0.66°C en Russie. 

Sachant que Vincent Courtillot a décelé de telles "bizarreries" en Europe, qu'il évoque dans ses conférences antérieures au Climate Gate, et que mes "vieux" lecteurs savent déjà que sous la pression de S. McIntyre, la Nasa et le Goddard Institute de James Hansen avaient dû reconnaître avoir exagéré l'importance du réchauffement des années 90 aux USA par rapport aux années 30... Cela commence à faire vraiment beaucoup.

On peut donc craindre que d'autres zones ne soient affectées de tels biais d'ajustement exagérant le réchauffement sur les années récentes. C'est extrêmement triste pour tous les scientifiques qui, de bonne foi, se sont inspiré des "résultats" du GIEC pour étudier la relation de certains phénomènes au climat.

Et c'est surtout très grave pour les citoyens contribuables du monde entier dont beaucoup se voient imposer des politiques coûteuses et parfois liberticides au nom d'un réchauffement sans doute largement "retravaillé" pour paraître plus spectaculaire.

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Météo hivernale - A part ça, de nombreuses zones de l'hémisphère nord enregistrent des conditions hivernales particulièrement rudes et simultanées, ce qui est plutôt rare ces dernières années. Le Nord des USA et la Chine, notamment, sont frappés par des chutes de neige particulèrement intenses, souvent record depuis que les enregistrements réguliers existent. En Inde, en Corée du Sud, et plus près de chez nous en Allemagne et en Grande Bretagne, les chutes de neige désorganisent les transports.
Même si la météo chinoise ose mettre tout cela sur le compte du "réchauffement climatique", qui provoquerait des "phénomènes extrêmes dans les deux sens", voilà qui ne peut guère inciter à croire que nous vivons une époque de réchauffement particulièrement intense, et que l'intensité de l'activité magnétique solaire est un élément clé de notre climat, avec lequel nous devons composer...
Je sais, je sais : quand c'est une manifestation du froid, "c'est la météo, pas le climat" ! Et quand il fait chaud, "c'est la preuve du réchauffement climatique".
Les prédictions de Mojib Latif (voir ici chez Jean Martin), un océanologue estampillé GIEC qui a prédit un retour de 10 à 20 ans de périodes froides, seraient elles en train de se réaliser ?
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Il fait froid en Angleterre - Brrr... Et pourtant, un véritable cauchemar financier attend les sujets de sa grâcieuse majesté. Le gouvernement Brown, qui voudrait que la Grande Bretagne soit plus verte que verte, propose un plan de développement à marche forcée d'énergies nucléaires et renouvelables qui pourrait porter à... 5 000 livres annuelles (compter 6000 à 8000 euros selon le taux de change) la facture énergétique d'un ménage moyen ! Inutile de dire que l'opposition réclame la remise en question des mesures annoncées par le gouvernement...
 
Dès à présent, bien des anglais ont du mal à payer leurs factures. La crise... Alors ils brûlent... Des livres d'occasion, rachetés à l'armée du salut et autres charités. Mais que font nos écologistes grand-bretons pour stopper cet holocauste culturel et carbogénérateur ?
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Klimat Jugend Sieg Heil ! - Papy Jako publie un étonnant article sur les méthodes que certains groupes écologistes voudraient employer vis à vis de nos très jeunes enfants, qui assureraient une sorte de police des comportements écologiques.
Surtout, la communication assimile des petits oublis de la vie quotidienne (la lumière, la télé en mode veille, etc...) à des CRIMES écologiques. Le ridicule ne tue plus...
Etant proche de gens qui ont connu des régimes où les parents s'efforçaient de ne dire que des banalités devant leurs enfants de peur qu'ils les répètent à leur instituteur, avec des conséquences potentiellement dramatiques, je ne puis que manifester une certaine crainte devant le retour de tels procédés.
Aucun pays n'est à l'abri. L'Examiner s'inquiète, aux USA, des effets perceptibles de l'endoctrinement de nombre d'enfants et de la transformation induite de leur comportement sur leur famille:
Fresh from their daily “greenwashing” sessions at school, these save-the-earth converts arrive home as little inspector generals, haranguing parents for exhibiting environmentally insensitive behavior and contributing to the planet’s looming CO2 overdose.
A quand le premier massacre climatique dans une école ? Des enfants dénonçant leurs parents à la police pour enfermement de nourritures tièdes dans le réfrigérateur ? On vit une époque formidable.
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C'est tout pour aujourd'hui !

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