Garde les yeux ouverts
Sur la moisson traversée
Recule les frontières de ton jardin
Laisse les eaux se perdre
Et les coeurs s’absenter
Si les jours égrènent ce qui sépare
Il te reste ce qui est.
(Andrée Chédid)
Garde les yeux ouverts
Sur la moisson traversée
Recule les frontières de ton jardin
Laisse les eaux se perdre
Et les coeurs s’absenter
Si les jours égrènent ce qui sépare
Il te reste ce qui est.
(Andrée Chédid)