En ces temps de vaches maigres pour les finances publiques et de ventripotence pour les traders et les élus (drôle de parallèle), et dans le sillage des aventures de l’archange Hans Rudolf, de ses déclarations et autres non déclarations, il semble de plus en plus urgent de mettre en place, par un processus législatif rapide, un impôt sur la connerie.
Son assiette devrait être calculée en fonction de l’empreinte écologique des rejets de CO2 effectués quotidiennement par les cons, de quelque nature, origine, sexe ou nationalité qu’ils soient et à raison de leur simple existence.
On peut aussi imaginer, un peu à l’image de quelques politiques, de taxer plus lourdement ceux qui usent de façon accrue le domaine public de la connerie, au point qu’ils en pompent l’air pur qui reste au chaland normal.
Les modalités techniques sont à l’étude. Avec des rabais possibles pour les repentis sincères, ça marche bien avec les neurologues collectionneurs.